À paraître

Le sigisbée

Par : Mathilde Desaché
Bientôt disponible
La date de sortie de cet article n'est pas encore confirmée. Selon l'éditeur, il sera bientôt disponible.
  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.202 kg
  • Dimensions13,5 cm × 20,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-36339-243-5
  • EAN9782363392435
  • Date de parution09/01/2026
  • ÉditeurFinitude Editions

Résumé

Sigisbée : chevalier servant d'une dame, choisi par son mari, qui s'engage à l'assister et à l'accompagner en toutes circonstances, palliant ainsi les absences, ou parfois l'indifférence, de celui-ci. La pratique est courante dans l'Italie du xviiie siècle. Venise n'est que splendeurs et fêtes pour la belle Caterina Querini. Peut-être parce qu'elle est doublement amoureuse : de son époux et du jeune Français que celui-ci lui a choisi pour sigisbée.
De ce trio amoureux est née une fille, Giulia. Le jour où la fillette est enlevée par l'un de ses deux pères, Caterina voit son monde s'effondrer. Quinze ans plus tard, Caterina, recluse dans un couvent, écrit à son ami Henri Beyle - jeune écrivain qui ne signe pas encore Stendhal - pour le charger de retrouver Giulia. En inventant une ascendance romanesque à Giulia, le dernier amour de Stendhal, Mathilde Desaché dépoussière avec beaucoup d'esprit le roman épistolaire.
Sigisbée : chevalier servant d'une dame, choisi par son mari, qui s'engage à l'assister et à l'accompagner en toutes circonstances, palliant ainsi les absences, ou parfois l'indifférence, de celui-ci. La pratique est courante dans l'Italie du xviiie siècle. Venise n'est que splendeurs et fêtes pour la belle Caterina Querini. Peut-être parce qu'elle est doublement amoureuse : de son époux et du jeune Français que celui-ci lui a choisi pour sigisbée.
De ce trio amoureux est née une fille, Giulia. Le jour où la fillette est enlevée par l'un de ses deux pères, Caterina voit son monde s'effondrer. Quinze ans plus tard, Caterina, recluse dans un couvent, écrit à son ami Henri Beyle - jeune écrivain qui ne signe pas encore Stendhal - pour le charger de retrouver Giulia. En inventant une ascendance romanesque à Giulia, le dernier amour de Stendhal, Mathilde Desaché dépoussière avec beaucoup d'esprit le roman épistolaire.