Le Shanghai ouvrier des années trente. Coolies, gangsters et syndicalistes
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages334
- PrésentationBroché
- Poids0.476 kg
- Dimensions1,6 cm × 2,4 cm × 0,2 cm
- ISBN2-7384-1576-8
- EAN9782738415769
- Date de parution01/12/1993
- CollectionChemins de la mémoire
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Ce livre présente les ouvriers et les ouvrières de Shanghai, tels qu'ils étaient et non pas tels que les avaient idéalisés Malraux dans sa Condition Humaine. Il les décrit lors de leurs grèves. Il les montre au travail. Il les suit dans leurs misérables logements. Ils apparaissent désunis, hétérogènes, mal organisés dans des syndicats officiels tenus souvent par des personnages troubles, liés à la pègre de la Triade et aux gangsters qui, tel Du Yuesheng.
contrôlent la ville. L'immensité de l'océan paysan entoure ce petit noyau extraordinaire de modernité qu'était le Shanghai des années trente. Toutefois on rencontre ici ou là, au hasard de ces venelles et de ces ateliers, des militants et des militantes dont la soif de dignité, le sens de la solidarité, la fierté nationale, la capacité d'organisation tranchent dans cette grisaille. o Ils construisent ainsi les bases fragiles d'une société civile et ont désespérément besoin d'un soutien politique que ne leur donnen3 ni le Guomindang, autoritaire et policier, ni le Parti Communiste Chinóis, enfermé dans son autisme politique d'alors.
Plus que le désastre du 12 avril 1927, cet échec constitue sans doute la véritable Tragédie de la Révolution chinoise. ++
contrôlent la ville. L'immensité de l'océan paysan entoure ce petit noyau extraordinaire de modernité qu'était le Shanghai des années trente. Toutefois on rencontre ici ou là, au hasard de ces venelles et de ces ateliers, des militants et des militantes dont la soif de dignité, le sens de la solidarité, la fierté nationale, la capacité d'organisation tranchent dans cette grisaille. o Ils construisent ainsi les bases fragiles d'une société civile et ont désespérément besoin d'un soutien politique que ne leur donnen3 ni le Guomindang, autoritaire et policier, ni le Parti Communiste Chinóis, enfermé dans son autisme politique d'alors.
Plus que le désastre du 12 avril 1927, cet échec constitue sans doute la véritable Tragédie de la Révolution chinoise. ++
Ce livre présente les ouvriers et les ouvrières de Shanghai, tels qu'ils étaient et non pas tels que les avaient idéalisés Malraux dans sa Condition Humaine. Il les décrit lors de leurs grèves. Il les montre au travail. Il les suit dans leurs misérables logements. Ils apparaissent désunis, hétérogènes, mal organisés dans des syndicats officiels tenus souvent par des personnages troubles, liés à la pègre de la Triade et aux gangsters qui, tel Du Yuesheng.
contrôlent la ville. L'immensité de l'océan paysan entoure ce petit noyau extraordinaire de modernité qu'était le Shanghai des années trente. Toutefois on rencontre ici ou là, au hasard de ces venelles et de ces ateliers, des militants et des militantes dont la soif de dignité, le sens de la solidarité, la fierté nationale, la capacité d'organisation tranchent dans cette grisaille. o Ils construisent ainsi les bases fragiles d'une société civile et ont désespérément besoin d'un soutien politique que ne leur donnen3 ni le Guomindang, autoritaire et policier, ni le Parti Communiste Chinóis, enfermé dans son autisme politique d'alors.
Plus que le désastre du 12 avril 1927, cet échec constitue sans doute la véritable Tragédie de la Révolution chinoise. ++
contrôlent la ville. L'immensité de l'océan paysan entoure ce petit noyau extraordinaire de modernité qu'était le Shanghai des années trente. Toutefois on rencontre ici ou là, au hasard de ces venelles et de ces ateliers, des militants et des militantes dont la soif de dignité, le sens de la solidarité, la fierté nationale, la capacité d'organisation tranchent dans cette grisaille. o Ils construisent ainsi les bases fragiles d'une société civile et ont désespérément besoin d'un soutien politique que ne leur donnen3 ni le Guomindang, autoritaire et policier, ni le Parti Communiste Chinóis, enfermé dans son autisme politique d'alors.
Plus que le désastre du 12 avril 1927, cet échec constitue sans doute la véritable Tragédie de la Révolution chinoise. ++