Le sens de la vie

Par : Gérard Amicel

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  • Nombre de pages78
  • PrésentationBroché
  • Poids0.114 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-84398-454-9
  • EAN9782843984549
  • Date de parution17/09/2014
  • CollectionAteliers populaires de philo
  • ÉditeurApogée (Editions)

Résumé

La vie a-t-elle un sens ? Comment donner une orientation et une cohérence à son existence ? La tradition philosophique a longtemps répondu à ces questions en postulant une finalité de la nature. Mais la fin du cosmos classique et la mort de dieu laissent l'homme moderne face à un monde muet, incapable de répondre à ses attentes. Ce sentiment de l'absurde peut cependant être vécu comme une chance de se libérer des vieux déterminismes biologiques et sociaux.
La vie n'a en elle-même aucun sens : il s'agit donc de l'inventer de toutes pièces. Seulement, dans cette perspective constructiviste, toutes les interprétations se valent et se montrent également incapables de donner un sens aux aléas de la vie. Faut-il finalement admettre que la question du sens de la vie est insoluble et l'abandonner aux marchands du développement personnel et à la médecine du bien-être ? Ou bien doit-on tenter de renouer les liens de l'homme et du monde, en formulant une nouvelle pensée de la vie ?
La vie a-t-elle un sens ? Comment donner une orientation et une cohérence à son existence ? La tradition philosophique a longtemps répondu à ces questions en postulant une finalité de la nature. Mais la fin du cosmos classique et la mort de dieu laissent l'homme moderne face à un monde muet, incapable de répondre à ses attentes. Ce sentiment de l'absurde peut cependant être vécu comme une chance de se libérer des vieux déterminismes biologiques et sociaux.
La vie n'a en elle-même aucun sens : il s'agit donc de l'inventer de toutes pièces. Seulement, dans cette perspective constructiviste, toutes les interprétations se valent et se montrent également incapables de donner un sens aux aléas de la vie. Faut-il finalement admettre que la question du sens de la vie est insoluble et l'abandonner aux marchands du développement personnel et à la médecine du bien-être ? Ou bien doit-on tenter de renouer les liens de l'homme et du monde, en formulant une nouvelle pensée de la vie ?