Verdun, juin 1884. Un homme traverse la ville, silhouette fatiguée, et marquée. Sous son chapeau rabattu, une barbe épaisse et les stigmates du fer aux chevilles racontent une histoire de douleur et d'errance. Il s'appelle Antonin Maujean. A l'hospice Sainte-Catherine, il réclame l'enfant que sa mère a abandonné dix-sept ans plus tôt : son fils. De lui, il n'a qu'un prénom, et le nom d'un village : Haumont-le-Soleil.
Guidé par une intuition viscérale, un "instinct paternel" presque sauvage, Antonin entreprend un voyage le long de la Meuse. Un chemin semé de doutes, de souvenirs, et d'espoir.
Verdun, juin 1884. Un homme traverse la ville, silhouette fatiguée, et marquée. Sous son chapeau rabattu, une barbe épaisse et les stigmates du fer aux chevilles racontent une histoire de douleur et d'errance. Il s'appelle Antonin Maujean. A l'hospice Sainte-Catherine, il réclame l'enfant que sa mère a abandonné dix-sept ans plus tôt : son fils. De lui, il n'a qu'un prénom, et le nom d'un village : Haumont-le-Soleil.
Guidé par une intuition viscérale, un "instinct paternel" presque sauvage, Antonin entreprend un voyage le long de la Meuse. Un chemin semé de doutes, de souvenirs, et d'espoir.