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Drôle
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Emouvant
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XXIe siècle
Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre comme type de récit. J'avais un vague idée des personnages à cause de la promotion du film que je n'ai pourtant suivi qu'au strict minimum (je déteste le battage médiatique), mais sorti de là, rien.
J'ai donc tout découvert d'un bloc et ce n'était pas plus mal.
L'écriture est inégale, parfois redondante, mais on lit quand même le livre assez vite car on sent que c'est écrit avec les tripes.
Ce livre n'est pas tendre. Il est rude, il est douloureux.
Il y a bien quelques passages doux, comme des éclaircies dans une terrible tempête
qui ne veut pas finir. Phillipe Pozzo Di Borgo en a connu des galères et son épouse Béatrice dont il nous parlera énormément à nous ses lecteurs ne fut pas épargnée. Au contraire, c'est même elle qui ouvre le bal et de là, tout s'enchaine presque trop vite. On est dans une spirale sans fin qui ralentit à peine de temps à autre. Comme quoi, le bonheur ne dépends pas que de la richesse pécuniaire, la santé, la douleur, la souffrance dans sa chair sont bien plus importants et ou déterminants avec la complicité, l'amour sans borne, la fusion des êtres…
Abdel, l'homme qui sera indispensable à Philippe est évidemment évoqué.
J'avoue que je ne sais pas comment on fait pour le supporter. Sans doute me faudrait-il moi aussi me retrouver dans le même état que Philippe car sans cela, je l'aurais bien volontiers assommé.
Un ange ? Un diable oui !!!
Les deux titres des deux récits présents dans cet ouvrage résument tout et sont choisis avec talent.
Lisez-les, je ne sais pas si vous aimerez, surtout si vous avez vu le film que je pressens assez différent, mais cela ne peut pas laisser insensible.
Il y a des prisons pires que celles avec des barreaux…
La richesse est dans la tête et le coeur
Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre comme type de récit. J'avais un vague idée des personnages à cause de la promotion du film que je n'ai pourtant suivi qu'au strict minimum (je déteste le battage médiatique), mais sorti de là, rien.
J'ai donc tout découvert d'un bloc et ce n'était pas plus mal.
L'écriture est inégale, parfois redondante, mais on lit quand même le livre assez vite car on sent que c'est écrit avec les tripes.
Ce livre n'est pas tendre. Il est rude, il est douloureux.
Il y a bien quelques passages doux, comme des éclaircies dans une terrible tempête qui ne veut pas finir. Phillipe Pozzo Di Borgo en a connu des galères et son épouse Béatrice dont il nous parlera énormément à nous ses lecteurs ne fut pas épargnée. Au contraire, c'est même elle qui ouvre le bal et de là, tout s'enchaine presque trop vite. On est dans une spirale sans fin qui ralentit à peine de temps à autre. Comme quoi, le bonheur ne dépends pas que de la richesse pécuniaire, la santé, la douleur, la souffrance dans sa chair sont bien plus importants et ou déterminants avec la complicité, l'amour sans borne, la fusion des êtres…
Abdel, l'homme qui sera indispensable à Philippe est évidemment évoqué.
J'avoue que je ne sais pas comment on fait pour le supporter. Sans doute me faudrait-il moi aussi me retrouver dans le même état que Philippe car sans cela, je l'aurais bien volontiers assommé.
Un ange ? Un diable oui !!!
Les deux titres des deux récits présents dans cet ouvrage résument tout et sont choisis avec talent.
Lisez-les, je ne sais pas si vous aimerez, surtout si vous avez vu le film que je pressens assez différent, mais cela ne peut pas laisser insensible.
Il y a des prisons pires que celles avec des barreaux…