Le savoir, secteur zéro de l'économie

Par : Serges Ikièmi
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  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.254 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-343-21032-2
  • EAN9782343210322
  • Date de parution18/09/2020
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La pauvreté et le sous-développement économique restent, de nos jours, des goulets d'étranglement pour le développement des pays africains. Ils demeurent au coeur des défis majeurs, des enjeux à relever par les économistes, les gouvernants et les institutions internationales de développement. L'économiste écossais Colin Clark a défini trois secteurs économiques principaux, selon la nature de l'industrie, à savoir : le secteur primaire, secondaire et tertiaire.
Serges Ikiemi en ajoute un : le savoir, qu'il estime être le secteur de base de l'économie, devant même les trois autres définis par Colin Clark. Car le savoir de l'homme, acteur principal dans la chaîne de développement, est primordial pour développer un pays, notamment à travers l'éducation et le transfert des TIC (technologies de l'information et de la communication), racines et sève nourrissante de l'économie, car l'industrie du développement, c'est d'abord l'industrie des savoirs.
La pauvreté et le sous-développement économique restent, de nos jours, des goulets d'étranglement pour le développement des pays africains. Ils demeurent au coeur des défis majeurs, des enjeux à relever par les économistes, les gouvernants et les institutions internationales de développement. L'économiste écossais Colin Clark a défini trois secteurs économiques principaux, selon la nature de l'industrie, à savoir : le secteur primaire, secondaire et tertiaire.
Serges Ikiemi en ajoute un : le savoir, qu'il estime être le secteur de base de l'économie, devant même les trois autres définis par Colin Clark. Car le savoir de l'homme, acteur principal dans la chaîne de développement, est primordial pour développer un pays, notamment à travers l'éducation et le transfert des TIC (technologies de l'information et de la communication), racines et sève nourrissante de l'économie, car l'industrie du développement, c'est d'abord l'industrie des savoirs.