Le salaire de la peine. Le business de la souffrance au travail
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- Nombre de pages190
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.238 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,6 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-02-142262-7
- EAN9782021422627
- Date de parution04/04/2019
- ÉditeurCoédition Seuil/Don Quichotte
Résumé
En France, la souffrance au travail se porte bien : 30 000 burn out, 3, 2 millions de personnes en danger d'épuisement, 400 suicides par an... Un marché économique s'est donc créé autour des risques psychosociaux : formations, expertises, séminaires... Ce juteux business prolifère et gangrène le monde du travail. Malgré les sommes astronomiques investies par les entreprises, une prise de conscience nationale, une médiatisation de grande ampleur, la souffrance professionnelle s'est-elle atténuée pour autant ? En aucun cas.
Il est vrai que, sous couvert de "bien-être au travail" , l'objectif reste le profit de l'entreprise. Un salarié "heureux" serait en effet plus rentable. Rien d'étonnant alors si cette mascarade ne fait pas rimer labeur avec bonheur ! Un coup de gueule salutaire contre une hypocrisie mortifère. Sylvaine Perragin a travaillé 15 ans en entreprise. Aujourd'hui, depuis 20 ans psychopraticienne et consultante en entreprise.
Elle reçoit dans son cabinet des personnes pour leurs problématiques personnelles et professionnelles. Elle intervient également en entreprise pour des diagnostics sur les risques psychosociaux à la demande des salariés (syndicats, CE, CHSCT...) ou des directions (patrons, DRH...).
Il est vrai que, sous couvert de "bien-être au travail" , l'objectif reste le profit de l'entreprise. Un salarié "heureux" serait en effet plus rentable. Rien d'étonnant alors si cette mascarade ne fait pas rimer labeur avec bonheur ! Un coup de gueule salutaire contre une hypocrisie mortifère. Sylvaine Perragin a travaillé 15 ans en entreprise. Aujourd'hui, depuis 20 ans psychopraticienne et consultante en entreprise.
Elle reçoit dans son cabinet des personnes pour leurs problématiques personnelles et professionnelles. Elle intervient également en entreprise pour des diagnostics sur les risques psychosociaux à la demande des salariés (syndicats, CE, CHSCT...) ou des directions (patrons, DRH...).
En France, la souffrance au travail se porte bien : 30 000 burn out, 3, 2 millions de personnes en danger d'épuisement, 400 suicides par an... Un marché économique s'est donc créé autour des risques psychosociaux : formations, expertises, séminaires... Ce juteux business prolifère et gangrène le monde du travail. Malgré les sommes astronomiques investies par les entreprises, une prise de conscience nationale, une médiatisation de grande ampleur, la souffrance professionnelle s'est-elle atténuée pour autant ? En aucun cas.
Il est vrai que, sous couvert de "bien-être au travail" , l'objectif reste le profit de l'entreprise. Un salarié "heureux" serait en effet plus rentable. Rien d'étonnant alors si cette mascarade ne fait pas rimer labeur avec bonheur ! Un coup de gueule salutaire contre une hypocrisie mortifère. Sylvaine Perragin a travaillé 15 ans en entreprise. Aujourd'hui, depuis 20 ans psychopraticienne et consultante en entreprise.
Elle reçoit dans son cabinet des personnes pour leurs problématiques personnelles et professionnelles. Elle intervient également en entreprise pour des diagnostics sur les risques psychosociaux à la demande des salariés (syndicats, CE, CHSCT...) ou des directions (patrons, DRH...).
Il est vrai que, sous couvert de "bien-être au travail" , l'objectif reste le profit de l'entreprise. Un salarié "heureux" serait en effet plus rentable. Rien d'étonnant alors si cette mascarade ne fait pas rimer labeur avec bonheur ! Un coup de gueule salutaire contre une hypocrisie mortifère. Sylvaine Perragin a travaillé 15 ans en entreprise. Aujourd'hui, depuis 20 ans psychopraticienne et consultante en entreprise.
Elle reçoit dans son cabinet des personnes pour leurs problématiques personnelles et professionnelles. Elle intervient également en entreprise pour des diagnostics sur les risques psychosociaux à la demande des salariés (syndicats, CE, CHSCT...) ou des directions (patrons, DRH...).