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Née en 1865 à Corato (Italie), Luisa Piccarreta, que Jésus surnomma lui-même "la petite fille de la Volonté Divine" vécut, à travers une vie qui tint du miracle permanent, une doctrine étonnante composée de quatre "perfections" : similitude et conformité à la Volonté Divine, puis Transformation en cette Volonté, enfin son ultime degré et le plus parfait, "opérer en tout en la divine volonté". L'oeuvre tout entière de Luisa — écrite au nom de la seule obéissance due à ses confesseurs, dont le bienheureux Hannibal Marie di Francia — est une totale immersion dans la Volonté Divine.
Un mot résume l'ensemble : fiat. L'un de ces écrits — que nous publions ici — s'intitule L'horloge de la passion. De cette poignante méditation des 24 Heures de la Passion, Jésus a promis (le 17.9.1924) : "Je bénis chaque mot, je bénis les effets qu'ils ont et la valeur qu'ils contiennent : ces écrits sont une partie de Moi-même". Jésus ajouta que la méditation des Heures de Sa Passion était l'une des dévotions qui lui seraient des plus agréables.
Si, dans chaque ville ou village, il se trouvait ne serait-ce qu'une seule âme pour les suivre, "Ma Justice qui en cette époque est beaucoup indignée en serait apaisée en partie ! ". La pratique des Heures de la Passion est conciliable même pour des personnes très occupées dans le monde, puisqu'il est possible d'accomplir cette élévation spirituelle au fil des jours et même durant son sommeil. Luisa Piccarreta est décédée le 4 mars 1947.
Son procès de béatification a été ouvert.