Prix Nobel de Littérature
Le romancier naïf et le romancier sentimental
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages177
- PrésentationBroché
- Poids0.2 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-07-013519-6
- EAN9782070135196
- Date de parution11/10/2012
- CollectionArcades
- ÉditeurGallimard
- TraducteurStéphanie Levet
Résumé
En 2010, devant les étudiants de l'université américaine Harvard, Orhan Pamuk développe sa vision de la littérature grâce à six conférences données dans le cadre des "Charles Eliot Norton Lectures". Dans ce cycle d'interventions, auquel s'ajoute un épilogue, le Prix Nobel n'hésite jamais à parler de sa propre biographie, de ses propres livres, de son travail d'écriture et surtout de sa pratique de lecteur.
La thèse sous-jacente de ces sept textes est empruntée à Friedrich Schiller qui, dans un ouvrage célèbre (Über naive und sentimentalische Dichtung, 1796), schématise sa conception de l'écriture en distinguant le poète naïf, qui serait du côté de la nature, écrivant spontanément, du poète sentimental, qui doute de son écriture, expérimente, réfléchit à la forme et aux enjeux esthétiques et sociaux de son écriture.
A partir de ce postulat, Orhan Pamuk passe en revue les grands textes qui ont marqué notre histoire culturelle et s'appuie sur Tolstoï, Stendhal, Flaubert, Proust, Defoe, Sartre, Balzac ou Dostoïevski pour construire cette belle introduction à la littérature.
La thèse sous-jacente de ces sept textes est empruntée à Friedrich Schiller qui, dans un ouvrage célèbre (Über naive und sentimentalische Dichtung, 1796), schématise sa conception de l'écriture en distinguant le poète naïf, qui serait du côté de la nature, écrivant spontanément, du poète sentimental, qui doute de son écriture, expérimente, réfléchit à la forme et aux enjeux esthétiques et sociaux de son écriture.
A partir de ce postulat, Orhan Pamuk passe en revue les grands textes qui ont marqué notre histoire culturelle et s'appuie sur Tolstoï, Stendhal, Flaubert, Proust, Defoe, Sartre, Balzac ou Dostoïevski pour construire cette belle introduction à la littérature.
En 2010, devant les étudiants de l'université américaine Harvard, Orhan Pamuk développe sa vision de la littérature grâce à six conférences données dans le cadre des "Charles Eliot Norton Lectures". Dans ce cycle d'interventions, auquel s'ajoute un épilogue, le Prix Nobel n'hésite jamais à parler de sa propre biographie, de ses propres livres, de son travail d'écriture et surtout de sa pratique de lecteur.
La thèse sous-jacente de ces sept textes est empruntée à Friedrich Schiller qui, dans un ouvrage célèbre (Über naive und sentimentalische Dichtung, 1796), schématise sa conception de l'écriture en distinguant le poète naïf, qui serait du côté de la nature, écrivant spontanément, du poète sentimental, qui doute de son écriture, expérimente, réfléchit à la forme et aux enjeux esthétiques et sociaux de son écriture.
A partir de ce postulat, Orhan Pamuk passe en revue les grands textes qui ont marqué notre histoire culturelle et s'appuie sur Tolstoï, Stendhal, Flaubert, Proust, Defoe, Sartre, Balzac ou Dostoïevski pour construire cette belle introduction à la littérature.
La thèse sous-jacente de ces sept textes est empruntée à Friedrich Schiller qui, dans un ouvrage célèbre (Über naive und sentimentalische Dichtung, 1796), schématise sa conception de l'écriture en distinguant le poète naïf, qui serait du côté de la nature, écrivant spontanément, du poète sentimental, qui doute de son écriture, expérimente, réfléchit à la forme et aux enjeux esthétiques et sociaux de son écriture.
A partir de ce postulat, Orhan Pamuk passe en revue les grands textes qui ont marqué notre histoire culturelle et s'appuie sur Tolstoï, Stendhal, Flaubert, Proust, Defoe, Sartre, Balzac ou Dostoïevski pour construire cette belle introduction à la littérature.