Le roman de l'école au XIXe siècle
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- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- Poids0.43 kg
- Dimensions17,1 cm × 24,1 cm × 1,6 cm
- ISBN2-7011-3857-4
- EAN9782701138572
- Date de parution03/06/2004
- Collectionhistoire de l'éducation
- ÉditeurBelin
Résumé
De la Restauration à la Première Guerre mondiale, la France connaît une expansion considérable de la scolarisation : en quelques décennies, l'école primaire se généralise, l'enseignement secondaire s'ouvre progressivement à un plus large public. Les interrogations essentielles concernant l'éducation se trouvent déjà posées : le statut des personnels enseignants, la relation pédagogique, la laïcité, la mixité ou encore l'adaptation au monde moderne des contenus enseignés. Au cours de la même période, le roman, genre multiforme, s'impose comme une forme littéraire majeure. Bien entendu, l'école y trouve sa place : le présent ouvrage examine les modalités de cette représentation " romancée ". Sur le ton de la nostalgie, de l'humour mais aussi de la polémique, les écrivains nous donnent à lire les figures de maîtres, les souffrances et les bonheurs des élèves ; ils mettent en scène les espaces et les temps de la vie scolaire ; ils dénoncent aussi les dérives de l'institution scolaire, et parfois même, dépassant la narration ou le témoignage, présentent de véritables propositions de réforme du système éducatif. La parole est donnée ici, largement, aux romanciers : la multiplicité des voix citées rend compte de l'importance accordée à l'éducation, à une époque où l'école portait en elle tous les espoirs de la société.
De la Restauration à la Première Guerre mondiale, la France connaît une expansion considérable de la scolarisation : en quelques décennies, l'école primaire se généralise, l'enseignement secondaire s'ouvre progressivement à un plus large public. Les interrogations essentielles concernant l'éducation se trouvent déjà posées : le statut des personnels enseignants, la relation pédagogique, la laïcité, la mixité ou encore l'adaptation au monde moderne des contenus enseignés. Au cours de la même période, le roman, genre multiforme, s'impose comme une forme littéraire majeure. Bien entendu, l'école y trouve sa place : le présent ouvrage examine les modalités de cette représentation " romancée ". Sur le ton de la nostalgie, de l'humour mais aussi de la polémique, les écrivains nous donnent à lire les figures de maîtres, les souffrances et les bonheurs des élèves ; ils mettent en scène les espaces et les temps de la vie scolaire ; ils dénoncent aussi les dérives de l'institution scolaire, et parfois même, dépassant la narration ou le témoignage, présentent de véritables propositions de réforme du système éducatif. La parole est donnée ici, largement, aux romanciers : la multiplicité des voix citées rend compte de l'importance accordée à l'éducation, à une époque où l'école portait en elle tous les espoirs de la société.