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On pourrait entrer dans la poésie de Claude-Lucien Cauët de deux manières : - Se laisser emporter par le rythme du vers, depuis les brisures océanes du premier poème jusqu'au départ en claquant la vague qui ferme le recueil ; - ou se laisser surprendre par la hardiesse des images, la langue riche, nourrie de mots rares, précieux, si précis. - Se laisser emporter par le rythme du vers, depuis les brisures océanes du premier poème jusqu'au départ en claquant la vague qui ferme le recueil ; - ou se laisser surprendre par la hardiesse des images, la langue riche, nourrie de mots rares, précieux, si précis.
On ira surtout, sans préface ni filtre, au bonheur, d'avant que le vent ne se lève. Yves Barré