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Le retour de la question sociale

Par : Jean-Christophe Le Duigou
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  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.249 kg
  • Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-493049-59-9
  • EAN9782493049599
  • Date de parution18/11/2025
  • ÉditeurArcane 17

Résumé

Quelles sont les responsabilités pour le syndicalisme alors que la question sociale est priée de s'effacer derrière l'expression de nouveaux enjeux militaires et stratégiques ? Quel est son avenir aussi dans un contexte qui voit le Rassemblement National camper aux portes du pouvoir et même s'y installer ? La critique culturelle se substituerait à la critique sociale tandis que " les conflits sociaux opposeraient moins le capital au travail ".
La question sociale relève-t-elle d'un passé révolu ? Non, la question sociale se présente toujours sous sa légitimité historique, et demeure profondément politique. Elle ne disparait pas, elle évolue et se transforme sous la pression de deux mutations d'une ampleur inédite. La révolution du numérique qui induit des changements profonds de l'organisation sociale tout d'abord. La nécessaire bifurcation écologique qui entraine une révolution quasi existentielle ensuite.
Même si le mouvement social doit composer avec des réalités nouvelles au premier rang desquelles la " remise en jeu " du concept de nature et d'environnement, il doit faire entendre de nouveaux acteurs, de nouveaux sujets. L'entreprise et le travail sont tout à la fois le cadre et l'enjeu des luttes de pouvoir entre les tenants du libéralisme, les promoteurs de l'autogestion les adeptes de la planification et les tenants de l'émancipation.
C'est aussi l'opportunité de faire un bilan personnel, de revenir sur les leçons des luttes contre les réformes des retraites pour une fiscalité juste et efficace, pour la défense et la promotion du service public, pour un développement d'une industrie répondant aux exigences écologiques... Mais c'est aussi l'occasion de se pencher sur l'avenir du travail d'évoquer les rapports de l'organisation syndicale avec les partis de gauche, le Parti communiste, le patronat et la place que doit prendre la mise en oeuvre d'une véritable démocratie sociale.
Le syndicalisme saura-il s'unir, se rassembler, créer le rapport de force indispensable pour engranger des succès stratégiques ? Voilà comment d'une discussion impromptue un jour d'été est né le projet de ces pages. Elles ne visent pas à conclure plusieurs débats ouverts. Elles sont destinées à éviter la " perte de mémoire collective " source de bien des errements.
Quelles sont les responsabilités pour le syndicalisme alors que la question sociale est priée de s'effacer derrière l'expression de nouveaux enjeux militaires et stratégiques ? Quel est son avenir aussi dans un contexte qui voit le Rassemblement National camper aux portes du pouvoir et même s'y installer ? La critique culturelle se substituerait à la critique sociale tandis que " les conflits sociaux opposeraient moins le capital au travail ".
La question sociale relève-t-elle d'un passé révolu ? Non, la question sociale se présente toujours sous sa légitimité historique, et demeure profondément politique. Elle ne disparait pas, elle évolue et se transforme sous la pression de deux mutations d'une ampleur inédite. La révolution du numérique qui induit des changements profonds de l'organisation sociale tout d'abord. La nécessaire bifurcation écologique qui entraine une révolution quasi existentielle ensuite.
Même si le mouvement social doit composer avec des réalités nouvelles au premier rang desquelles la " remise en jeu " du concept de nature et d'environnement, il doit faire entendre de nouveaux acteurs, de nouveaux sujets. L'entreprise et le travail sont tout à la fois le cadre et l'enjeu des luttes de pouvoir entre les tenants du libéralisme, les promoteurs de l'autogestion les adeptes de la planification et les tenants de l'émancipation.
C'est aussi l'opportunité de faire un bilan personnel, de revenir sur les leçons des luttes contre les réformes des retraites pour une fiscalité juste et efficace, pour la défense et la promotion du service public, pour un développement d'une industrie répondant aux exigences écologiques... Mais c'est aussi l'occasion de se pencher sur l'avenir du travail d'évoquer les rapports de l'organisation syndicale avec les partis de gauche, le Parti communiste, le patronat et la place que doit prendre la mise en oeuvre d'une véritable démocratie sociale.
Le syndicalisme saura-il s'unir, se rassembler, créer le rapport de force indispensable pour engranger des succès stratégiques ? Voilà comment d'une discussion impromptue un jour d'été est né le projet de ces pages. Elles ne visent pas à conclure plusieurs débats ouverts. Elles sont destinées à éviter la " perte de mémoire collective " source de bien des errements.
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