Le repentir
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.28 kg
- Dimensions15,8 cm × 22,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-36749-050-2
- EAN9782367490502
- Date de parution05/07/2018
- ÉditeurCohen&Cohen
Résumé
Le narrateur semble le mentor d'un marchand de tableaux anciens dont il attend ardemment la réussite professionnelle. Mais s'il en parle comme d'un alter ego , n'est-ce pas seulement pour mieux se plaindre de ses échecs ? D'autant qu'il a des doutes sur l'authenticité d'une Bacchanale de Poussin que son prétendu protégé vient d'acquérir... Heureusement, il y a aussi Marianne. Un marchand de tableaux anciens, ex-psychiatre, achète dans une vente de Stockholm une Bacchanale qu'il croit être de Nicolas Poussin.
Mais un conservateur du Louvre lui apprend qu'il existe déjà un original identique et que son tableau ne peut donc être qu'une copie. Cependant le nettoyage de l'oeuvre fait apparaître un repentir donnant à penser qu'elle est authentique. Les deux spécialistes français de Poussin vont avoir des avis divergents sur le problème. Découragé, le marchand finira, hélas, par solder son tableau à un grand couturier, juste avant qu'il ne soit enfin reconnu comme autographe.
Cette intrigue est racontée par un narrateur (qui rapporte la vie du marchand de tableaux à la troisième personne) que son alter ego ne cesse de le décevoir. Mais le lecteur saisit assez rapidement que les deux personnages n'en font qu'un et que ce dédoublement n'est qu'un artifice qu'a choisi l'auteur pour de se moquer de son personnage comme le ferait un humoriste. D'autant que le narrateur s'intéresse également à Marianne, la compagne du marchand de tableau, et finit par s'y attacher, ce qui entraîne quelques considérations sur la nature admirable des hystériques (dont Marilyn Monroe) et débouche sur un dénouement amoureux inattendu.
Mais un conservateur du Louvre lui apprend qu'il existe déjà un original identique et que son tableau ne peut donc être qu'une copie. Cependant le nettoyage de l'oeuvre fait apparaître un repentir donnant à penser qu'elle est authentique. Les deux spécialistes français de Poussin vont avoir des avis divergents sur le problème. Découragé, le marchand finira, hélas, par solder son tableau à un grand couturier, juste avant qu'il ne soit enfin reconnu comme autographe.
Cette intrigue est racontée par un narrateur (qui rapporte la vie du marchand de tableaux à la troisième personne) que son alter ego ne cesse de le décevoir. Mais le lecteur saisit assez rapidement que les deux personnages n'en font qu'un et que ce dédoublement n'est qu'un artifice qu'a choisi l'auteur pour de se moquer de son personnage comme le ferait un humoriste. D'autant que le narrateur s'intéresse également à Marianne, la compagne du marchand de tableau, et finit par s'y attacher, ce qui entraîne quelques considérations sur la nature admirable des hystériques (dont Marilyn Monroe) et débouche sur un dénouement amoureux inattendu.
Le narrateur semble le mentor d'un marchand de tableaux anciens dont il attend ardemment la réussite professionnelle. Mais s'il en parle comme d'un alter ego , n'est-ce pas seulement pour mieux se plaindre de ses échecs ? D'autant qu'il a des doutes sur l'authenticité d'une Bacchanale de Poussin que son prétendu protégé vient d'acquérir... Heureusement, il y a aussi Marianne. Un marchand de tableaux anciens, ex-psychiatre, achète dans une vente de Stockholm une Bacchanale qu'il croit être de Nicolas Poussin.
Mais un conservateur du Louvre lui apprend qu'il existe déjà un original identique et que son tableau ne peut donc être qu'une copie. Cependant le nettoyage de l'oeuvre fait apparaître un repentir donnant à penser qu'elle est authentique. Les deux spécialistes français de Poussin vont avoir des avis divergents sur le problème. Découragé, le marchand finira, hélas, par solder son tableau à un grand couturier, juste avant qu'il ne soit enfin reconnu comme autographe.
Cette intrigue est racontée par un narrateur (qui rapporte la vie du marchand de tableaux à la troisième personne) que son alter ego ne cesse de le décevoir. Mais le lecteur saisit assez rapidement que les deux personnages n'en font qu'un et que ce dédoublement n'est qu'un artifice qu'a choisi l'auteur pour de se moquer de son personnage comme le ferait un humoriste. D'autant que le narrateur s'intéresse également à Marianne, la compagne du marchand de tableau, et finit par s'y attacher, ce qui entraîne quelques considérations sur la nature admirable des hystériques (dont Marilyn Monroe) et débouche sur un dénouement amoureux inattendu.
Mais un conservateur du Louvre lui apprend qu'il existe déjà un original identique et que son tableau ne peut donc être qu'une copie. Cependant le nettoyage de l'oeuvre fait apparaître un repentir donnant à penser qu'elle est authentique. Les deux spécialistes français de Poussin vont avoir des avis divergents sur le problème. Découragé, le marchand finira, hélas, par solder son tableau à un grand couturier, juste avant qu'il ne soit enfin reconnu comme autographe.
Cette intrigue est racontée par un narrateur (qui rapporte la vie du marchand de tableaux à la troisième personne) que son alter ego ne cesse de le décevoir. Mais le lecteur saisit assez rapidement que les deux personnages n'en font qu'un et que ce dédoublement n'est qu'un artifice qu'a choisi l'auteur pour de se moquer de son personnage comme le ferait un humoriste. D'autant que le narrateur s'intéresse également à Marianne, la compagne du marchand de tableau, et finit par s'y attacher, ce qui entraîne quelques considérations sur la nature admirable des hystériques (dont Marilyn Monroe) et débouche sur un dénouement amoureux inattendu.