On se moque souvent de la passion helvétique du "propre en ordre" . Mais se demande-t-on d'où vient aux Suisses ce besoin d'ordonner, de ranger et de balayer sans relâche devant leur porte ? Dans cette méditation allègre et détendue sur les mentalités et l'histoire, Oskar Freysinger esquisse les fondements profonds, métaphysiques, de l'exception suisse. A travers une réinterprétation originale du mythe d'Antigone, il dépeint une cité où on ne laisse jamais de plaies ouvertes, où la raison d'Etat ne dépasse jamais la somme des raisons des citoyens.
Et où les lois non écrites régissent encore la vie publique.
On se moque souvent de la passion helvétique du "propre en ordre" . Mais se demande-t-on d'où vient aux Suisses ce besoin d'ordonner, de ranger et de balayer sans relâche devant leur porte ? Dans cette méditation allègre et détendue sur les mentalités et l'histoire, Oskar Freysinger esquisse les fondements profonds, métaphysiques, de l'exception suisse. A travers une réinterprétation originale du mythe d'Antigone, il dépeint une cité où on ne laisse jamais de plaies ouvertes, où la raison d'Etat ne dépasse jamais la somme des raisons des citoyens.
Et où les lois non écrites régissent encore la vie publique.