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Le Règne de Cronos dans la littérature française du XVIe siècle
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- Nombre de pages126
- PrésentationBroché
- Poids0.2 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,7 cm × 0,9 cm
- ISBN2-7078-0534-3
- EAN9782707805348
- Date de parution12/10/2005
- ÉditeurNIZET
Résumé
Les oeuvres (en grande partie poétiques) des auteurs français du XVIe siècle, sont pleines de références aux archétypes du mythe de l'Age d'Or forgé par Hésiode et reprit par Ovide : immutabilité, harmonie, perfection, éternelle jeunesse, immortalité, bonheur, unité de l'homme et de la nature, etc. Zoé Samaras, en mettant subtilement en lien le style des auteurs avec les concepts "d'inconscient collectif" et "d'archétype", montre que la reprise (transformée) du mythe de l'Age d'Or dans la littérature française du XVIe siècle, n'a rien de fortuit.
Pour des raisons également sociaux-culturelles, la période de la Renaissance est propice au désir d'un retour vers des origines idéalisées de l'homme : "La Renaissance n'est donc la découverte de l'Antiquité que parce que cette découverte mène à la re-naissance de l'être humain".
Pour des raisons également sociaux-culturelles, la période de la Renaissance est propice au désir d'un retour vers des origines idéalisées de l'homme : "La Renaissance n'est donc la découverte de l'Antiquité que parce que cette découverte mène à la re-naissance de l'être humain".
Les oeuvres (en grande partie poétiques) des auteurs français du XVIe siècle, sont pleines de références aux archétypes du mythe de l'Age d'Or forgé par Hésiode et reprit par Ovide : immutabilité, harmonie, perfection, éternelle jeunesse, immortalité, bonheur, unité de l'homme et de la nature, etc. Zoé Samaras, en mettant subtilement en lien le style des auteurs avec les concepts "d'inconscient collectif" et "d'archétype", montre que la reprise (transformée) du mythe de l'Age d'Or dans la littérature française du XVIe siècle, n'a rien de fortuit.
Pour des raisons également sociaux-culturelles, la période de la Renaissance est propice au désir d'un retour vers des origines idéalisées de l'homme : "La Renaissance n'est donc la découverte de l'Antiquité que parce que cette découverte mène à la re-naissance de l'être humain".
Pour des raisons également sociaux-culturelles, la période de la Renaissance est propice au désir d'un retour vers des origines idéalisées de l'homme : "La Renaissance n'est donc la découverte de l'Antiquité que parce que cette découverte mène à la re-naissance de l'être humain".
A propos de Zoé Samaras