Le rayonnement du végétarisme. Les 12 raisons du végétarisme ; Le végétarisme et la paix

Par : Jacques de Marquette

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  • Nombre de pages230
  • PrésentationBroché
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-923568-19-5
  • EAN9782923568195
  • Date de parution07/02/2015
  • ÉditeurSaint-Germain-Morya
  • PréfacierJean-Pierre Wenger

Résumé

Une pesante réalité multimillénaire impose à l'homme la nécessité de se nourrir... Quelle attitude l'homme a-t-il adoptée pour y faire face ? Les penseurs végétariens avaient indiqué un chemin qui n'a jamais été oublié et qui resurgit à notre époque où la consommation de viande, pour une population sans cesse en augmentation, génère une préoccupation écologique majeure, tant par les dégagements de gaz à effet de serre, dus à l'élevage, que par la consommation d'eau pour les animaux, que par l'utilisation de terres arables qui pourraient être réservées à l'alimentation humaine et non plus animale, sans oublier les flots de sang des animaux dans les abattoirs et aussi dans les laboratoires scientifiques...
La préhistoire a connu l'anthropophagie, qui a laissé place à la consommation de viande animale, situation dénoncée avec énergie par Pythagore dès le Ve siècle av. J.-C. , en déclarant qu'une partie des maux de la Terre provenait de ce que l'homme osait détruire : ses frères, les animaux, pour se repaître de leurs cadavres et il ne voyait presque pas de différence entre un anthropophage et un carnivore : peut-être exagérait-il ?
Une pesante réalité multimillénaire impose à l'homme la nécessité de se nourrir... Quelle attitude l'homme a-t-il adoptée pour y faire face ? Les penseurs végétariens avaient indiqué un chemin qui n'a jamais été oublié et qui resurgit à notre époque où la consommation de viande, pour une population sans cesse en augmentation, génère une préoccupation écologique majeure, tant par les dégagements de gaz à effet de serre, dus à l'élevage, que par la consommation d'eau pour les animaux, que par l'utilisation de terres arables qui pourraient être réservées à l'alimentation humaine et non plus animale, sans oublier les flots de sang des animaux dans les abattoirs et aussi dans les laboratoires scientifiques...
La préhistoire a connu l'anthropophagie, qui a laissé place à la consommation de viande animale, situation dénoncée avec énergie par Pythagore dès le Ve siècle av. J.-C. , en déclarant qu'une partie des maux de la Terre provenait de ce que l'homme osait détruire : ses frères, les animaux, pour se repaître de leurs cadavres et il ne voyait presque pas de différence entre un anthropophage et un carnivore : peut-être exagérait-il ?