le rationalisation de Leibniz et la culture arabe
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages180
- PrésentationBroché
- Poids0.25 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-9938-53-148-0
- EAN9789938531480
- Date de parution20/04/2023
- ÉditeurNirvana
Résumé
J'ai tenté dans ce livre de savoir dans quelle mesure la philosophie de Leibniz, considérée comme l'expression ultime du rationalisme classique, peut aider à résoudre les problèmes auxquels la culture arabe est confrontée aujourd'hui. Ainsi, si le rationalisme est devenu caduc en Occident, cela veut-il dire qu'il est inutile et impraticable dans nos sociétés ? La reconnaissance de l'individualité des personnes, que la métaphysique leibnizienne a fondée par le concept de monade, peut-il être utile à une philosophie arabe qui reconnaît l'autonomie des personnes et des cultures ? Comment être leibnizien dans un pays arabe comme la Tunisie ? Sommes-nous astreints de ne voir en lui que le philosophe européen, défendant l'unification des Eglises articulée au projet d'une colonisation de l'Egypte ? N'a-t-on pas plutôt besoin, pour mieux nous situer dans le monde, de retenir de lui sa valorisation de la différence, son souci de se mettre à "la place d'autrui" , sa pensée de la conciliation, du concordat et de l'universalité ?
J'ai tenté dans ce livre de savoir dans quelle mesure la philosophie de Leibniz, considérée comme l'expression ultime du rationalisme classique, peut aider à résoudre les problèmes auxquels la culture arabe est confrontée aujourd'hui. Ainsi, si le rationalisme est devenu caduc en Occident, cela veut-il dire qu'il est inutile et impraticable dans nos sociétés ? La reconnaissance de l'individualité des personnes, que la métaphysique leibnizienne a fondée par le concept de monade, peut-il être utile à une philosophie arabe qui reconnaît l'autonomie des personnes et des cultures ? Comment être leibnizien dans un pays arabe comme la Tunisie ? Sommes-nous astreints de ne voir en lui que le philosophe européen, défendant l'unification des Eglises articulée au projet d'une colonisation de l'Egypte ? N'a-t-on pas plutôt besoin, pour mieux nous situer dans le monde, de retenir de lui sa valorisation de la différence, son souci de se mettre à "la place d'autrui" , sa pensée de la conciliation, du concordat et de l'universalité ?