Le procès de Reagan après les bombardements US de Tripoli et Benghazi
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- Nombre de pages175
- PrésentationBroché
- Poids0.26 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7384-0683-1
- EAN9782738406835
- Date de parution03/05/2000
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le 15 avril 1986, dans la nuit, sans déclaration de guerre, les villes libyennes de Tripoli et Benghazi sont bombardées par l'U.S. Air Force, sur ordre de R. Reagan, Président des USA. Bilan : 41 tués, 226 blessés. Malgré la campagne internationale de désinformation et la pression exercée sur ses alliés par l'agresseur, cet acte est stigmatisé dans le monde entier. Le Mouvement des Pays non Alignés, l'Organisation de la Conférence Islamique, le Conseil Mondial de la Paix, l'Organisation de l'Unité Africaine, condamnent l'agression U.S.
et reconnaissent le droit de la Jamahiriya Libyenne à des réparations. Malgré la position favorable de l'Assemblée Générale de l'ONU, le Conseil de Sécurité ne bougera pas à cause du veto des... USA La Cour Internationale de La Haye - Agence de l'ONU, n'a pas assigné en justice l'Etat agresseur qui a eu, par ailleurs, l'arrogance de revendiquer son crime. Le procès de Reagan aura lieu cependant du 29 au 31 août 1988, soit 2 ans plus tard, sur les lieux mêmes des bombardements.
Il se déroulera devant le Tribunal anti-impérialiste "Notre-Amérique" (T.A.N.A.) constitué de juristes originaires des pays centre et sud-américains, victimes depuis leur indépendance de la célèbre "Doctrine Monroe". La procédure a été minutieuse. Les droits de la défense ainsi que le débat contradictoire ont bien été respectés. En écoutant les témoignages des rescapés des bombardements et en analysant, selon le droit international, cette agression militaire sur des civils désarmés, le T.A.N.A.
a pu justement condamner par contumace le criminel Reagan et son pays soi-disant "Défenseur des libertés et des valeurs universelles". Il n'est pas dit que la plus grande puissance belliciste du monde pourra impunément attaquer et meurtrir les nations les plus petites, dans le Golfe de Syrte ou ailleurs, sans qu'aucune réponse ne lui soit opposée, sans que la mémoire collective nationale et internationale et l'histoire écrite n'en gardent trace...
et reconnaissent le droit de la Jamahiriya Libyenne à des réparations. Malgré la position favorable de l'Assemblée Générale de l'ONU, le Conseil de Sécurité ne bougera pas à cause du veto des... USA La Cour Internationale de La Haye - Agence de l'ONU, n'a pas assigné en justice l'Etat agresseur qui a eu, par ailleurs, l'arrogance de revendiquer son crime. Le procès de Reagan aura lieu cependant du 29 au 31 août 1988, soit 2 ans plus tard, sur les lieux mêmes des bombardements.
Il se déroulera devant le Tribunal anti-impérialiste "Notre-Amérique" (T.A.N.A.) constitué de juristes originaires des pays centre et sud-américains, victimes depuis leur indépendance de la célèbre "Doctrine Monroe". La procédure a été minutieuse. Les droits de la défense ainsi que le débat contradictoire ont bien été respectés. En écoutant les témoignages des rescapés des bombardements et en analysant, selon le droit international, cette agression militaire sur des civils désarmés, le T.A.N.A.
a pu justement condamner par contumace le criminel Reagan et son pays soi-disant "Défenseur des libertés et des valeurs universelles". Il n'est pas dit que la plus grande puissance belliciste du monde pourra impunément attaquer et meurtrir les nations les plus petites, dans le Golfe de Syrte ou ailleurs, sans qu'aucune réponse ne lui soit opposée, sans que la mémoire collective nationale et internationale et l'histoire écrite n'en gardent trace...
Le 15 avril 1986, dans la nuit, sans déclaration de guerre, les villes libyennes de Tripoli et Benghazi sont bombardées par l'U.S. Air Force, sur ordre de R. Reagan, Président des USA. Bilan : 41 tués, 226 blessés. Malgré la campagne internationale de désinformation et la pression exercée sur ses alliés par l'agresseur, cet acte est stigmatisé dans le monde entier. Le Mouvement des Pays non Alignés, l'Organisation de la Conférence Islamique, le Conseil Mondial de la Paix, l'Organisation de l'Unité Africaine, condamnent l'agression U.S.
et reconnaissent le droit de la Jamahiriya Libyenne à des réparations. Malgré la position favorable de l'Assemblée Générale de l'ONU, le Conseil de Sécurité ne bougera pas à cause du veto des... USA La Cour Internationale de La Haye - Agence de l'ONU, n'a pas assigné en justice l'Etat agresseur qui a eu, par ailleurs, l'arrogance de revendiquer son crime. Le procès de Reagan aura lieu cependant du 29 au 31 août 1988, soit 2 ans plus tard, sur les lieux mêmes des bombardements.
Il se déroulera devant le Tribunal anti-impérialiste "Notre-Amérique" (T.A.N.A.) constitué de juristes originaires des pays centre et sud-américains, victimes depuis leur indépendance de la célèbre "Doctrine Monroe". La procédure a été minutieuse. Les droits de la défense ainsi que le débat contradictoire ont bien été respectés. En écoutant les témoignages des rescapés des bombardements et en analysant, selon le droit international, cette agression militaire sur des civils désarmés, le T.A.N.A.
a pu justement condamner par contumace le criminel Reagan et son pays soi-disant "Défenseur des libertés et des valeurs universelles". Il n'est pas dit que la plus grande puissance belliciste du monde pourra impunément attaquer et meurtrir les nations les plus petites, dans le Golfe de Syrte ou ailleurs, sans qu'aucune réponse ne lui soit opposée, sans que la mémoire collective nationale et internationale et l'histoire écrite n'en gardent trace...
et reconnaissent le droit de la Jamahiriya Libyenne à des réparations. Malgré la position favorable de l'Assemblée Générale de l'ONU, le Conseil de Sécurité ne bougera pas à cause du veto des... USA La Cour Internationale de La Haye - Agence de l'ONU, n'a pas assigné en justice l'Etat agresseur qui a eu, par ailleurs, l'arrogance de revendiquer son crime. Le procès de Reagan aura lieu cependant du 29 au 31 août 1988, soit 2 ans plus tard, sur les lieux mêmes des bombardements.
Il se déroulera devant le Tribunal anti-impérialiste "Notre-Amérique" (T.A.N.A.) constitué de juristes originaires des pays centre et sud-américains, victimes depuis leur indépendance de la célèbre "Doctrine Monroe". La procédure a été minutieuse. Les droits de la défense ainsi que le débat contradictoire ont bien été respectés. En écoutant les témoignages des rescapés des bombardements et en analysant, selon le droit international, cette agression militaire sur des civils désarmés, le T.A.N.A.
a pu justement condamner par contumace le criminel Reagan et son pays soi-disant "Défenseur des libertés et des valeurs universelles". Il n'est pas dit que la plus grande puissance belliciste du monde pourra impunément attaquer et meurtrir les nations les plus petites, dans le Golfe de Syrte ou ailleurs, sans qu'aucune réponse ne lui soit opposée, sans que la mémoire collective nationale et internationale et l'histoire écrite n'en gardent trace...





















