Le procès de Louis XVI - Poche

Edition 2014

Note moyenne 
Albert Soboul - Le procès de Louis XVI.
Le procès de Louis XVI et son exécution le 21 janvier 1793 sont le moment clé où la Révolution doit se définir elle-même. A Barnave qui déclare... Lire la suite
9,90 € Neuf
Expédié sous 3 à 6 jours
Livré chez vous entre le 9 mai et le 14 mai
En librairie

Résumé

Le procès de Louis XVI et son exécution le 21 janvier 1793 sont le moment clé où la Révolution doit se définir elle-même. A Barnave qui déclare : "Allons-nous terminer la Révolution, allons-nous la recommencer ? Un pas de plus dans la ligne de la liberté serait la destruction de la royauté, dans la ligne de l'égalité la destruction de la propriété", Robespierre oppose le droit à l'insurrection contre la tyrannie : "Citoyens, vouliez-vous une révolution sans révolution ? Qui peut marquer, après coup, le point précis où doivent se briser les flots de l'insurrection populaire ? A ce prix, quel peuple pourrait jamais secouer le joug du despotisme ?".
Saint-Just enfin, soutenant que le roi est coupable simplement d'être monarque puisque le rapport entre un peuple et un roi, fondé sur une usurpation, est par trop inique, lance à la face du monde : "On ne peut pas régner innocemment, la folie en est trop évidente. Tout roi est un rebelle et un usurpateur". Ecoutons les Conventionnels régicides : leur débat résonne jusqu'à nos jours.

Caractéristiques

  • Date de parution
    20/05/2014
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-07-045686-4
  • EAN
    9782070456864
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    387 pages
  • Poids
    0.21 Kg
  • Dimensions
    10,8 cm × 17,7 cm × 1,8 cm

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

L'éditeur en parle

Le procès de Louis XVI et son exécution le 21 janvier 1793 sont le moment clé où la Révolution doit se définir elle-même. A Barnave qui déclare : "Allons-nous terminer la Révolution, allons-nous la recommencer ? Un pas de plus dans la ligne de la liberté serait la destruction de la royauté, dans la ligne de l'égalité la destruction de la propriété" , Robespierre oppose le droit à l'insurrection contre la tyrannie : "Citoyens, vouliez-vous une révolution sans révolution ? Qui peut marquer, après coup, le point précis où doivent se briser les flots de l'insurrection populaire ? A ce prix, quel peuple pourrait jamais secouer le joug du despotisme ?" Saint-Just enfin, soutenant que le roi est coupable simplement d'être monarque puisque le rapport entre un peuple et un roi, fondé sur une usurpation, est par trop inique, lance à la face du monde : "On ne peut pas régner innocemment, la folie en est trop évidente.
Tout roi est un rebelle et un usurpateur". Ecoutons les Conventionnels régicides : leur débat résonne jusqu'à nos jours. Ecoutons les Conventionnels régicides : leur débat résonne jusqu'à nos jours...

À propos de l'auteur

Biographie d'Albert Soboul

Né en 1914, Albert Soboul, qui a dirigé l'Institut d'histoire de la Révolution française, inscrit son oeuvre, après Albert Mathiez et Georges Lefebvre, dans la grande tradition de l'historiographie jacobine de la Révolution. Sa thèse sur Les Sans-culottes parisiens en l'an II (Librairie Clavreuil, 1958) comme sa Révolution française (Gallimard, coll Tel, numéro 88) sont devenues des classiques. Albert Soboul est mort en 1982.

Du même auteur

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés

9,90 €