Le Proces De La Maison De La Chimie (7 Au 14 Avril 1942). Conrtibution A L'Histoire Des Debuts De La Resistance Armee En France
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- Nombre de pages196
- PrésentationBroché
- Poids0.255 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-7475-3112-0
- EAN9782747531122
- Date de parution18/10/2002
- CollectionMémoires du XXe siècle
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Il y a soixante ans, vingt-sept combattants de la première heure étaient jugés par un tribunal nazi siégeant à la Maison de la Chimie du 7 au 14 avril 1942. Il s'agissait pour les autorités d'occupation et pour le gouvernement de Vichy de prouver qu'ils étaient venus à bout de la Résistance armée et que la France était désormais une terre soumise. A l'issue de ce procès, vingt-trois hommes étaient fusillés et une femme guillotinée. L'auteur de ce livre qui est le dernier survivant de ce procès, raconte les débuts difficiles de la lutte armée en France et le déroulement du procès. Il s'efforce de retracer la biographie des combattants exécutés, qui avaient presque tous moins de vingt-cinq ans. Le plus jeune avait dix-sept ans. Il évoque le souvenir de tous ceux qui sont tombés dans la lutte en 1941 et 1942. En annexe, on trouvera le poème d'Aragon " Les roses de Noël " et deux rapports triomphants de la police française.
Il y a soixante ans, vingt-sept combattants de la première heure étaient jugés par un tribunal nazi siégeant à la Maison de la Chimie du 7 au 14 avril 1942. Il s'agissait pour les autorités d'occupation et pour le gouvernement de Vichy de prouver qu'ils étaient venus à bout de la Résistance armée et que la France était désormais une terre soumise. A l'issue de ce procès, vingt-trois hommes étaient fusillés et une femme guillotinée. L'auteur de ce livre qui est le dernier survivant de ce procès, raconte les débuts difficiles de la lutte armée en France et le déroulement du procès. Il s'efforce de retracer la biographie des combattants exécutés, qui avaient presque tous moins de vingt-cinq ans. Le plus jeune avait dix-sept ans. Il évoque le souvenir de tous ceux qui sont tombés dans la lutte en 1941 et 1942. En annexe, on trouvera le poème d'Aragon " Les roses de Noël " et deux rapports triomphants de la police française.