Virginie Cresci est journaliste. Elle est passée par L'Obs, ChEEk Magazine, Konbini, Le Média TV et Vice News France, et collabore désormais avec ARTE où elle réalise des reportages sur des sujets de société, ainsi qu'avec la Revue du Crieur.
Le prix des larmes. Le coût caché des violences sexuelles
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- Nombre de pages215
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.23 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-246-83622-3
- EAN9782246836223
- Date de parution24/04/2024
- ÉditeurGrasset
- PréfacierEdouard Durand
Résumé
Combien coûtent les violences sexuelles aux victimes et aux pouvoirs publics ? Cette question est un tabou social. Pour y répondre, il faut parler d'argent, de l'après, des conséquences concrètes, quotidiennes, crues. Car subir des violences sexuelles, c'est en payer le prix toute sa vie. Frais de justice, de santé physique et psychique s'accumulent, parfois jusqu'à des montants astronomiques, dans le plus grand silence.
Mais si les victimes paient, n'est-ce pas qu'on les considère tacitement responsables de ce qui leur est arrivé ? Refuser d'aborder ce problème, c'est nier le fait que des centaines de milliers de personnes ont besoin de soins, de reconnaissance et de justice. C'est aussi aggraver les souffrances au lieu de les endiguer. Puis, tôt ou tard, faire payer à la collectivité le prix de cette inaction, évalué entre 40 et 70 milliards d'euros par an en France.
Au fil des interviews de victimes, femmes et hommes de tous âges, et de nombreux experts, Virginie Cresci fait toute la lumière sur ce sujet. Si le constat est accablant, elle propose aussi de nombreuses pistes de solutions, pour les pouvoirs publics comme pour les victimes, afin que nous ne détournions plus notre regard du prix des larmes.
Mais si les victimes paient, n'est-ce pas qu'on les considère tacitement responsables de ce qui leur est arrivé ? Refuser d'aborder ce problème, c'est nier le fait que des centaines de milliers de personnes ont besoin de soins, de reconnaissance et de justice. C'est aussi aggraver les souffrances au lieu de les endiguer. Puis, tôt ou tard, faire payer à la collectivité le prix de cette inaction, évalué entre 40 et 70 milliards d'euros par an en France.
Au fil des interviews de victimes, femmes et hommes de tous âges, et de nombreux experts, Virginie Cresci fait toute la lumière sur ce sujet. Si le constat est accablant, elle propose aussi de nombreuses pistes de solutions, pour les pouvoirs publics comme pour les victimes, afin que nous ne détournions plus notre regard du prix des larmes.
Combien coûtent les violences sexuelles aux victimes et aux pouvoirs publics ? Cette question est un tabou social. Pour y répondre, il faut parler d'argent, de l'après, des conséquences concrètes, quotidiennes, crues. Car subir des violences sexuelles, c'est en payer le prix toute sa vie. Frais de justice, de santé physique et psychique s'accumulent, parfois jusqu'à des montants astronomiques, dans le plus grand silence.
Mais si les victimes paient, n'est-ce pas qu'on les considère tacitement responsables de ce qui leur est arrivé ? Refuser d'aborder ce problème, c'est nier le fait que des centaines de milliers de personnes ont besoin de soins, de reconnaissance et de justice. C'est aussi aggraver les souffrances au lieu de les endiguer. Puis, tôt ou tard, faire payer à la collectivité le prix de cette inaction, évalué entre 40 et 70 milliards d'euros par an en France.
Au fil des interviews de victimes, femmes et hommes de tous âges, et de nombreux experts, Virginie Cresci fait toute la lumière sur ce sujet. Si le constat est accablant, elle propose aussi de nombreuses pistes de solutions, pour les pouvoirs publics comme pour les victimes, afin que nous ne détournions plus notre regard du prix des larmes.
Mais si les victimes paient, n'est-ce pas qu'on les considère tacitement responsables de ce qui leur est arrivé ? Refuser d'aborder ce problème, c'est nier le fait que des centaines de milliers de personnes ont besoin de soins, de reconnaissance et de justice. C'est aussi aggraver les souffrances au lieu de les endiguer. Puis, tôt ou tard, faire payer à la collectivité le prix de cette inaction, évalué entre 40 et 70 milliards d'euros par an en France.
Au fil des interviews de victimes, femmes et hommes de tous âges, et de nombreux experts, Virginie Cresci fait toute la lumière sur ce sujet. Si le constat est accablant, elle propose aussi de nombreuses pistes de solutions, pour les pouvoirs publics comme pour les victimes, afin que nous ne détournions plus notre regard du prix des larmes.
