Le prince jaune

Par : Vassil Barka
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  • Nombre de pages396
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.41 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN2-07-029106-5
  • EAN9782070291069
  • Date de parution01/03/1981
  • CollectionDu monde entier
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Hiver 1932-1933 en Ukraine : cinq, six ou sept millions de cadavres, entre 15% et 20% de la population totale de cette contrée réputée pour la fertilité légendaire de son sol a succombé aux exécutions sommaires, aux déportations, et surtout à la famine mortelle organisée froidement par le pouvoir soviétique, décidé à imposer la collectivisation aux paysans. Les bandes de communistes armés procèdent à des fouilles impitoyables, enlevant aux fermiers moribonds jusqu'au dernier grain de blé.
Sous prétexte de lutte contre les "koulaks-exploiteurs", une civilisation séculaire est détruite avec son folklore, ses traditions, sa spiritualité. Le cannibalisme fait son apparition dans le grenier proverbial de l'Europe. Les parents égorgent leurs enfants, et, à la tombée de la nuit, un homme seul ne sort plus de peur d'être dépecé et mangé... Faute de bâches, le blé confisqué pourrit dans des silos gardés militairement ; sous les yeux des foules affamées.
Lors des rafles géantes, des paysans capturés sont jetés pêle-mêle, morts et vivants, dans des fosses communes. Ce génocide communiste, comparable par plus d'un côté à l'extermination des Juifs sous Hitler ou des Cambodgiens sous Pol Pot, fut soigneusement camouflé. Aux visiteurs occidentaux, on montrait des fermes collectives modèles, et Edouard Herriot lui-même fut dupe d'un kolkhoze factice, mise en scène préparée spécialement à son intention.
Hiver 1932-1933 en Ukraine : cinq, six ou sept millions de cadavres, entre 15% et 20% de la population totale de cette contrée réputée pour la fertilité légendaire de son sol a succombé aux exécutions sommaires, aux déportations, et surtout à la famine mortelle organisée froidement par le pouvoir soviétique, décidé à imposer la collectivisation aux paysans. Les bandes de communistes armés procèdent à des fouilles impitoyables, enlevant aux fermiers moribonds jusqu'au dernier grain de blé.
Sous prétexte de lutte contre les "koulaks-exploiteurs", une civilisation séculaire est détruite avec son folklore, ses traditions, sa spiritualité. Le cannibalisme fait son apparition dans le grenier proverbial de l'Europe. Les parents égorgent leurs enfants, et, à la tombée de la nuit, un homme seul ne sort plus de peur d'être dépecé et mangé... Faute de bâches, le blé confisqué pourrit dans des silos gardés militairement ; sous les yeux des foules affamées.
Lors des rafles géantes, des paysans capturés sont jetés pêle-mêle, morts et vivants, dans des fosses communes. Ce génocide communiste, comparable par plus d'un côté à l'extermination des Juifs sous Hitler ou des Cambodgiens sous Pol Pot, fut soigneusement camouflé. Aux visiteurs occidentaux, on montrait des fermes collectives modèles, et Edouard Herriot lui-même fut dupe d'un kolkhoze factice, mise en scène préparée spécialement à son intention.