Le pouvoir financier dans la Rome antique

Par : Thomas Flichy de La Neuville
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  • Nombre de pages54
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.09 kg
  • Dimensions14,7 cm × 20,7 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-493323-11-8
  • EAN9782493323118
  • Date de parution01/03/2022
  • CollectionL'actualité au prisme de l'his
  • ÉditeurPU Rhin & Danube

Résumé

La vie financière romaine ne se laisse pas aisément décrypter dans la mesure où le maniement de l'argent demeure longtemps une activité honteuse contrevenant à l'idéal d'otium de l'aristocratie. La classe sénatoriale est pourtant très engagée dans les affaires : elle pratique largement le prêt à intérêt et investit dans les sociétés qui exploitent les mines de l'Empire. Son pouvoir financier passe néanmoins par l'intermédiaire de prête-noms qui sont souvent des esclaves ou des affranchis.
Au-dessous d'elle, les chevaliers romains agissent en pleine lumière, tirant les fils des societatis pubiicanorum auxquelles l'Etat romain a externalisé nombre de fonctions régaliennes, notamment la perception de l'impôt. Ces multinationales des publicains sous-tendent largement la logique d'expansion impériale et soulèvent une interrogation fondamentale : les esclaves-financiers auraient-ils été les véritables maîtres de la république ?
La vie financière romaine ne se laisse pas aisément décrypter dans la mesure où le maniement de l'argent demeure longtemps une activité honteuse contrevenant à l'idéal d'otium de l'aristocratie. La classe sénatoriale est pourtant très engagée dans les affaires : elle pratique largement le prêt à intérêt et investit dans les sociétés qui exploitent les mines de l'Empire. Son pouvoir financier passe néanmoins par l'intermédiaire de prête-noms qui sont souvent des esclaves ou des affranchis.
Au-dessous d'elle, les chevaliers romains agissent en pleine lumière, tirant les fils des societatis pubiicanorum auxquelles l'Etat romain a externalisé nombre de fonctions régaliennes, notamment la perception de l'impôt. Ces multinationales des publicains sous-tendent largement la logique d'expansion impériale et soulèvent une interrogation fondamentale : les esclaves-financiers auraient-ils été les véritables maîtres de la république ?
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