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Trente-quatre poèmes, trente-quatre variations sur les thèmes des éternels questionnements qui cherchent à sonder le pourquoi de l'Homme : enfance, amour, révolte, mort... E. Caroux les décrit en poésie avec ses mots à lui. Qu'en dire, si ce n'est la lire et la savourer, car la poésie ne s'explique ni ne se raconte, a dit le poète, elle doit tout simplement, comme une évidence, vous rentrer dedans.
E. Caroux les décrie aussi en poésie avec ses mots à lui. Au cours de quelques-uns des poèmes, ironie et fantaisie se glissent, qui nous mènent à l'apparition de la lune, du rossignol ou de la rose, ces éléments si beaux, si usés et abusés dont certains se sont emparés avec une poétisante facilité d'ennui. Le pouce en incartade ? E. Caroux n'en a pas fini de nous séduire.
