Le post-humain et les enjeux du sujet

Par : Xavier Lambert

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  • Nombre de pages216
  • PrésentationBroché
  • Poids0.265 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-296-56717-7
  • EAN9782296567177
  • Date de parution01/02/2012
  • CollectionOuverture philosophique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le développement de la pensée systémique à partir de la deuxième moitié du vingtième siècle induirait un mode d'appréhension du réel où l'humain ne serait plus le point nodal des représentations du monde mais se trouverait dilué en tant que système informationnel à travers des porosités inaccoutumées entre l'homme et la machine et entre les espèces. Dans le registre économique, le développement paroxystique du capitalisme financier poserait avec acuité les termes dune relation système - vs - sujet en exacerbant l'hypertrophie de l'individu au détriment du sujet.
Doit-on considérer le post-humain comme un véritable dépassement ou comme une nouvelle péripétie de l'humain ? Quelle place le sujet peut-il conserver dans un système qui le dissout ? Qu'en est-il de la singularité du sujet inhérente à toute démarche de création artistique ? Quelle peut être la place de l'oeuvre d'art dans un dispositif où l'individu s'énonce dans la destruction du sujet ?
Le développement de la pensée systémique à partir de la deuxième moitié du vingtième siècle induirait un mode d'appréhension du réel où l'humain ne serait plus le point nodal des représentations du monde mais se trouverait dilué en tant que système informationnel à travers des porosités inaccoutumées entre l'homme et la machine et entre les espèces. Dans le registre économique, le développement paroxystique du capitalisme financier poserait avec acuité les termes dune relation système - vs - sujet en exacerbant l'hypertrophie de l'individu au détriment du sujet.
Doit-on considérer le post-humain comme un véritable dépassement ou comme une nouvelle péripétie de l'humain ? Quelle place le sujet peut-il conserver dans un système qui le dissout ? Qu'en est-il de la singularité du sujet inhérente à toute démarche de création artistique ? Quelle peut être la place de l'oeuvre d'art dans un dispositif où l'individu s'énonce dans la destruction du sujet ?