Ali Miganeh Hadi, maître de conférences en droit maritime et directeur du Centre de Recherche en Logistique et Transport (CRLT) à l'Université de Djibouti, est chercheur associé à l'Université de Nantes, au Centre de Droit Maritime et Océanique (CDMO). Ses travaux portent sur la lutte contre la criminalité maritime, la migration intra-régionale, la mise en place d'un cadre juridique pour les ports.
Le Port de Djibouti. De l’insécurité maritime à la logique de marché
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- Nombre de pages380
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.645 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-336-45636-2
- EAN9782336456362
- Date de parution27/06/2024
- CollectionAffaires maritimes et Transpor
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMartin Ndendé
- PréfacierPatrick Chaumette
Résumé
Par sa position stratégique, le Port de Djibouti se trouve au coeur du transit et du marché intérieur de la Corne de l'Afrique. L'Ethiopie, pays sans littoral, cherche à développer un choix alternatif à Djibouti avec les autres ports d'Afrique de l'Est. En même temps, la piraterie s'est développée dans le Golfe d'Aden car la Somalie ne peut exercer sa pleine souveraineté sur sa zone maritime. Les principes juridiques développés par la Convention des Nations Unies sur le Droit de la mer (CNUDM) ont donc dû être utilisés au bénéfice de cet Etat côtier, pour apporter une valeur contraignante à l'interprétation et à l'application du droit international, par la voie de résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.
Ainsi, depuis 2008, le port de Djibouti a accueilli plus de 300 navires militaires, devenant une plateforme internationale de coopération. Par des projets portuaires ambitieux et concurrentiels, le pays veut investir et stimuler sa croissance économique, en offrant les meilleures garanties de sûreté et de sécurité maritimes.
Ainsi, depuis 2008, le port de Djibouti a accueilli plus de 300 navires militaires, devenant une plateforme internationale de coopération. Par des projets portuaires ambitieux et concurrentiels, le pays veut investir et stimuler sa croissance économique, en offrant les meilleures garanties de sûreté et de sécurité maritimes.
Par sa position stratégique, le Port de Djibouti se trouve au coeur du transit et du marché intérieur de la Corne de l'Afrique. L'Ethiopie, pays sans littoral, cherche à développer un choix alternatif à Djibouti avec les autres ports d'Afrique de l'Est. En même temps, la piraterie s'est développée dans le Golfe d'Aden car la Somalie ne peut exercer sa pleine souveraineté sur sa zone maritime. Les principes juridiques développés par la Convention des Nations Unies sur le Droit de la mer (CNUDM) ont donc dû être utilisés au bénéfice de cet Etat côtier, pour apporter une valeur contraignante à l'interprétation et à l'application du droit international, par la voie de résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies.
Ainsi, depuis 2008, le port de Djibouti a accueilli plus de 300 navires militaires, devenant une plateforme internationale de coopération. Par des projets portuaires ambitieux et concurrentiels, le pays veut investir et stimuler sa croissance économique, en offrant les meilleures garanties de sûreté et de sécurité maritimes.
Ainsi, depuis 2008, le port de Djibouti a accueilli plus de 300 navires militaires, devenant une plateforme internationale de coopération. Par des projets portuaires ambitieux et concurrentiels, le pays veut investir et stimuler sa croissance économique, en offrant les meilleures garanties de sûreté et de sécurité maritimes.