Le polar dans la transition démocratique espagnole. Le cas de Tatuaje (1974) de Manuel Vazquez Montalban et de Protesis (1980) de Andreu Martin
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- Poids0.385 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-915271-72-0
- EAN9782915271720
- Date de parution01/03/2014
- CollectionStudia Remensia
- ÉditeurPresses Universitaires Reims
- PréfacierEmmanuel Le Vagueresse
Résumé
Alors que le régime de Franco vit ses derniers instants et que, en 1978, l'Espagne devient officiellement une démocratie, des écrivains espagnols tentent de donner un nouveau souffle à une littérature romanesque qui s'était repliée sur elle-même pendant la dictature. Genre populaire par excellence, le polar séduit immédiatement romanciers, éditeurs et lecteurs. Mais est-il possible d'allier divertissement et critique ? C'est la question que se sont posée Manuel Vázquez Montalbán (1939-2003) et Andreu Martín (1949) en infiltrant le genre policier.
Sous leurs allures de romans de grande consommation, Tatuaje (1974) et Prótesis (1980) vont bien au-delà de la seule dénonciation d'une littérature en crise et d'une Transition démocratique bancale. Et si les deux auteurs catalans invitent leur lecteur à suivre la piste de l'assassin, comme dans tout bon roman policier, le coupable ne sera finalement pas celui que l'on croit...
Sous leurs allures de romans de grande consommation, Tatuaje (1974) et Prótesis (1980) vont bien au-delà de la seule dénonciation d'une littérature en crise et d'une Transition démocratique bancale. Et si les deux auteurs catalans invitent leur lecteur à suivre la piste de l'assassin, comme dans tout bon roman policier, le coupable ne sera finalement pas celui que l'on croit...
Alors que le régime de Franco vit ses derniers instants et que, en 1978, l'Espagne devient officiellement une démocratie, des écrivains espagnols tentent de donner un nouveau souffle à une littérature romanesque qui s'était repliée sur elle-même pendant la dictature. Genre populaire par excellence, le polar séduit immédiatement romanciers, éditeurs et lecteurs. Mais est-il possible d'allier divertissement et critique ? C'est la question que se sont posée Manuel Vázquez Montalbán (1939-2003) et Andreu Martín (1949) en infiltrant le genre policier.
Sous leurs allures de romans de grande consommation, Tatuaje (1974) et Prótesis (1980) vont bien au-delà de la seule dénonciation d'une littérature en crise et d'une Transition démocratique bancale. Et si les deux auteurs catalans invitent leur lecteur à suivre la piste de l'assassin, comme dans tout bon roman policier, le coupable ne sera finalement pas celui que l'on croit...
Sous leurs allures de romans de grande consommation, Tatuaje (1974) et Prótesis (1980) vont bien au-delà de la seule dénonciation d'une littérature en crise et d'une Transition démocratique bancale. Et si les deux auteurs catalans invitent leur lecteur à suivre la piste de l'assassin, comme dans tout bon roman policier, le coupable ne sera finalement pas celui que l'on croit...