Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
A vingt ans, Elodie est insouciante comme sa mère, pianiste réputée pour son talent et sa fantaisie. La maladie d'Alzheimer va faire une entrée grimaçante...
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Résumé
A vingt ans, Elodie est insouciante comme sa mère, pianiste réputée pour son talent et sa fantaisie. La maladie d'Alzheimer va faire une entrée grimaçante dans leur existence. Une grimace parfois odieuse, souvent comique, toujours attachante. Mais Elodie n'a pas dit son dernier mot. A grand renfort de torpilles d'imagination et de rafales d'amour, avec " cette bonne vieille rage qui vous rend invincible et vous défend de craquer ", la jeune fille nargue le mal qui atteint sa mère. Bientôt déboule Rosita, Cap-Verdienne ahurissante, dame de compagnie bourrée de malice et d'humanité. Avec Boris, le brillant chef d'orchestre, qui n'arrive à dire " je t'aime " qu'à sa baguette mais sera toujours là pour " sa " pianiste, ils forment un étrange quatuor où les interprètes réinventent à leur façon la partition du bonheur. Un livre généreux, bouleversant et tendre.
Christine Devars est documentaliste pour les émissions musicales de Radio France. Le Piano désaccordé, d'inspiration autobiographique, est son premier roman.