Le petit peuple des guetteurs. Yves Henri et la création partagée
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- Nombre de pages126
- PrésentationBroché
- Poids0.42 kg
- Dimensions20,0 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-84562-181-7
- EAN9782845621817
- Date de parution01/06/2011
- ÉditeurLa Passe du Vent
Résumé
Ils sont à ce jour dix-huit - et bientôt dix-neuf. En une quinzaine d'années, de la périphérie lyonnaise à la Drôme des collines, en passant par le Limousin et la Palestine, le " petit peuple des guetteurs " a prospéré. Ces " guetteurs " ont pour créateur Yves Henri, un " artiste citoyen " ou " citoyen artiste " qui vit son art autant comme un moyen d'expression personnelle que comme un mode de relation aux autres.
Convaincu que l'art est " une activité qui consiste à produire des rapports au monde" (Nicolas Bourriaud), Yves Henri aime à mettre en oeuvre avec les personnes les plus diverses un processus de " création partagée " : à ses yeux en effet, " toute réalisation artistique ne peut l'être que s'il y a eu échanges, rencontres avec un groupe. Un groupe pas forcément initié au départ à la chose artistique ".
Au-delà de la présentation de ce " petit peuple " et de la démarche qui l'a inspiré, cet ouvrage rassemble des contributions, analyses et témoignages d'une dizaine de personnes qui - dans la diversité de leurs statuts : professionnel de l'art, élu local, militant associatif, collectionneur, détenu, réfugié d'un camp palestinien, universitaire, étudiant... - ont été associées à la conception et à la réalisation d'un " guetteur ".
Ce faisant, s'il permet de découvrir une oeuvre qui " tient à [l'art] des prodiges africains autant qu'à la rigoureuse candeur de la piété romane " (Lionel Bourg), cet ouvrage amène aussi à s'interroger sur la place de l'artiste dans la société comme sur les évolutions à venir des politiques publiques de la culture.
Convaincu que l'art est " une activité qui consiste à produire des rapports au monde" (Nicolas Bourriaud), Yves Henri aime à mettre en oeuvre avec les personnes les plus diverses un processus de " création partagée " : à ses yeux en effet, " toute réalisation artistique ne peut l'être que s'il y a eu échanges, rencontres avec un groupe. Un groupe pas forcément initié au départ à la chose artistique ".
Au-delà de la présentation de ce " petit peuple " et de la démarche qui l'a inspiré, cet ouvrage rassemble des contributions, analyses et témoignages d'une dizaine de personnes qui - dans la diversité de leurs statuts : professionnel de l'art, élu local, militant associatif, collectionneur, détenu, réfugié d'un camp palestinien, universitaire, étudiant... - ont été associées à la conception et à la réalisation d'un " guetteur ".
Ce faisant, s'il permet de découvrir une oeuvre qui " tient à [l'art] des prodiges africains autant qu'à la rigoureuse candeur de la piété romane " (Lionel Bourg), cet ouvrage amène aussi à s'interroger sur la place de l'artiste dans la société comme sur les évolutions à venir des politiques publiques de la culture.
Ils sont à ce jour dix-huit - et bientôt dix-neuf. En une quinzaine d'années, de la périphérie lyonnaise à la Drôme des collines, en passant par le Limousin et la Palestine, le " petit peuple des guetteurs " a prospéré. Ces " guetteurs " ont pour créateur Yves Henri, un " artiste citoyen " ou " citoyen artiste " qui vit son art autant comme un moyen d'expression personnelle que comme un mode de relation aux autres.
Convaincu que l'art est " une activité qui consiste à produire des rapports au monde" (Nicolas Bourriaud), Yves Henri aime à mettre en oeuvre avec les personnes les plus diverses un processus de " création partagée " : à ses yeux en effet, " toute réalisation artistique ne peut l'être que s'il y a eu échanges, rencontres avec un groupe. Un groupe pas forcément initié au départ à la chose artistique ".
Au-delà de la présentation de ce " petit peuple " et de la démarche qui l'a inspiré, cet ouvrage rassemble des contributions, analyses et témoignages d'une dizaine de personnes qui - dans la diversité de leurs statuts : professionnel de l'art, élu local, militant associatif, collectionneur, détenu, réfugié d'un camp palestinien, universitaire, étudiant... - ont été associées à la conception et à la réalisation d'un " guetteur ".
Ce faisant, s'il permet de découvrir une oeuvre qui " tient à [l'art] des prodiges africains autant qu'à la rigoureuse candeur de la piété romane " (Lionel Bourg), cet ouvrage amène aussi à s'interroger sur la place de l'artiste dans la société comme sur les évolutions à venir des politiques publiques de la culture.
Convaincu que l'art est " une activité qui consiste à produire des rapports au monde" (Nicolas Bourriaud), Yves Henri aime à mettre en oeuvre avec les personnes les plus diverses un processus de " création partagée " : à ses yeux en effet, " toute réalisation artistique ne peut l'être que s'il y a eu échanges, rencontres avec un groupe. Un groupe pas forcément initié au départ à la chose artistique ".
Au-delà de la présentation de ce " petit peuple " et de la démarche qui l'a inspiré, cet ouvrage rassemble des contributions, analyses et témoignages d'une dizaine de personnes qui - dans la diversité de leurs statuts : professionnel de l'art, élu local, militant associatif, collectionneur, détenu, réfugié d'un camp palestinien, universitaire, étudiant... - ont été associées à la conception et à la réalisation d'un " guetteur ".
Ce faisant, s'il permet de découvrir une oeuvre qui " tient à [l'art] des prodiges africains autant qu'à la rigoureuse candeur de la piété romane " (Lionel Bourg), cet ouvrage amène aussi à s'interroger sur la place de l'artiste dans la société comme sur les évolutions à venir des politiques publiques de la culture.


