Le Pèlerin chérubinique. Epigrammes et maximes spirituelles pour amener à la contemplation de Dieu
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- Nombre de pages282
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.42 kg
- Dimensions14,4 cm × 22,0 cm × 1,7 cm
- ISBN979-10-304-3170-4
- EAN9791030431704
- Date de parution28/05/2025
- CollectionMoyenne collection
- ÉditeurAllia
- TraducteurHenri Plard
Résumé
Paru en 1657, Le Pèlerin chérubinique est un ensemble de poèmes, véritable guide vers la contemplation d'un Dieu caché au-delà du langage. Ouvre maîtresse d'un jeune homme âgé de trente-trois à sa parution, c'est le reflet d'une quête intense, entre réflexion métaphysique, spéculation mystique et incandescence poétique. En cherchant à dérouter le lecteur par des retournements incessants pour mieux le faire accéder à sa propre intériorité, il rejoint d'autres traditions mystiques, notamment orientales.
Angelus Silesius touche ainsi aux limites du langage, au néant, voire à l'absence de Dieu. Car si l'on ne peut parler de Dieu, il faut emprunter un chemin paradoxal et contradictoire : "Arrête, où cours-tu donc, le ciel est en toi : et chercher Dieu ailleurs, c'est le manquer toujours. "
Angelus Silesius touche ainsi aux limites du langage, au néant, voire à l'absence de Dieu. Car si l'on ne peut parler de Dieu, il faut emprunter un chemin paradoxal et contradictoire : "Arrête, où cours-tu donc, le ciel est en toi : et chercher Dieu ailleurs, c'est le manquer toujours. "
Paru en 1657, Le Pèlerin chérubinique est un ensemble de poèmes, véritable guide vers la contemplation d'un Dieu caché au-delà du langage. Ouvre maîtresse d'un jeune homme âgé de trente-trois à sa parution, c'est le reflet d'une quête intense, entre réflexion métaphysique, spéculation mystique et incandescence poétique. En cherchant à dérouter le lecteur par des retournements incessants pour mieux le faire accéder à sa propre intériorité, il rejoint d'autres traditions mystiques, notamment orientales.
Angelus Silesius touche ainsi aux limites du langage, au néant, voire à l'absence de Dieu. Car si l'on ne peut parler de Dieu, il faut emprunter un chemin paradoxal et contradictoire : "Arrête, où cours-tu donc, le ciel est en toi : et chercher Dieu ailleurs, c'est le manquer toujours. "
Angelus Silesius touche ainsi aux limites du langage, au néant, voire à l'absence de Dieu. Car si l'on ne peut parler de Dieu, il faut emprunter un chemin paradoxal et contradictoire : "Arrête, où cours-tu donc, le ciel est en toi : et chercher Dieu ailleurs, c'est le manquer toujours. "