"S'affichant clandestinement pure, la voix ne pouvait que se faire entendre ineffable et s'imposer tragiquement à la victime. Son corps se morcelait, inexorablement, au rythme des multiples clins d'oeil du grand Regard pour éclater hors structure, sous les coups d'une terrifiante suggestion miroitante. L'écho déformé de son imago par une kyrielle de signifiants n'est pas sans évoquer, à sa façon, le parfum empoisonné du narcisse utilisé, pour ravir Perséphone, par Hadès, le dieu des morts, symbole des enfers, maître impitoyable dont nul n'osait prononcer le nom de peur d'attiser son courroux".
Jamais encore un ancien membre du Sérail n'avait écrit un pamphlet d'une telle violence pour dénoncer d'expérience que "la psychanalyse n'a, à proprement parler, reproduit, au contact d'une de ses écoles officielles tout au moins, que supercherie, manipulation mentale et corruption".
"S'affichant clandestinement pure, la voix ne pouvait que se faire entendre ineffable et s'imposer tragiquement à la victime. Son corps se morcelait, inexorablement, au rythme des multiples clins d'oeil du grand Regard pour éclater hors structure, sous les coups d'une terrifiante suggestion miroitante. L'écho déformé de son imago par une kyrielle de signifiants n'est pas sans évoquer, à sa façon, le parfum empoisonné du narcisse utilisé, pour ravir Perséphone, par Hadès, le dieu des morts, symbole des enfers, maître impitoyable dont nul n'osait prononcer le nom de peur d'attiser son courroux".
Jamais encore un ancien membre du Sérail n'avait écrit un pamphlet d'une telle violence pour dénoncer d'expérience que "la psychanalyse n'a, à proprement parler, reproduit, au contact d'une de ses écoles officielles tout au moins, que supercherie, manipulation mentale et corruption".