Bénédicte Civet- Lobstein nous propose dans cet ouvrage de nous replonger dans un thème vieux comme le monde qui nous concerne tous et pourtant qui renferme encore tant de mystères et de questionnements : La Mort, le passage auquel nous seront tous un jour ou l’autre obligé d’emprunter comme un aller simple, vers une destination inconnue… Un sujet si tabou dans notre société occidentale ! Ce terme « Mort » si difficile pour certains d’entre nous à prononcer et qui évoque inéluctablement dans la mémoire collective, la fin, le manque et l’absence. Que se passe t’-il juste avant, pendant et après le dernier souffle ? Que faut-il faire, dire ou pas dans certaines circonstances ? Comment faut-il aborder et parler de la Mort aux enfants ? Que penser de l’Euthanasie ? Des soins palliatifs ? Toutes ces questions nous nous les posons au moment où la Mort s’invite dans notre quotidien le plus souvent à l’improviste et parfois avec une échéance qu’il faudra apprendre à gérer. On écrit sur cette question existentielle depuis des siècles, comme on ne compte plus les ouvrages qui lui sont destinés. Malgré cela la Mort demeure toujours cette inconnue, et pourtant Il faut apprendre à l’apprivoiser ! L’accepter pour mieux la vivre, car lorsqu’on a plus peur de la mort on n’a plus peur de la vie. C’est à travers sa propre expérience d’accompagnante en fin de vie dans un premier temps puis de son propre témoignage aux frontières de la Mort que Bénédicte nous propose avec beaucoup de neutralité ; une approche synthétisée des connaissances philosophiques, médicales, religieuses et spiritualistes autour du sujet. On y découvre malheureusement sans surprise que la France demeure toujours aussi en retard concernant la question de prise en charge de la « fin de vie ». Ce que nous devons essayer de comprendre et de tout mettre en place autant dans notre vie que dans notre société c’est de changer notre approche, nos comportements face à la mort. Ne pas l’ignorer car elle fait partie de la vie. Lui redonner la place qu’elle occupait il n’y a pas si longtemps que cela, lorsque l’on mourait dans son lit. Ce qui permettait peut être de mieux vivre la perte d’un être cher.
Bénédicte Civet- Lobstein nous propose dans cet ouvrage de nous replonger dans un thème vieux comme le monde qui nous concerne tous et pourtant qui renferme encore tant de mystères et de questionnements : La Mort, le passage auquel nous seront tous un jour ou l’autre obligé d’emprunter comme un aller simple, vers une destination inconnue… Un sujet si tabou dans notre société occidentale ! Ce terme « Mort » si difficile pour certains d’entre nous à prononcer et qui évoque inéluctablement dans la mémoire collective, la fin, le manque et l’absence. Que se passe t’-il juste avant, pendant et après le dernier souffle ? Que faut-il faire, dire ou pas dans certaines circonstances ? Comment faut-il aborder et parler de la Mort aux enfants ? Que penser de l’Euthanasie ? Des soins palliatifs ? Toutes ces questions nous nous les posons au moment où la Mort s’invite dans notre quotidien le plus souvent à l’improviste et parfois avec une échéance qu’il faudra apprendre à gérer. On écrit sur cette question existentielle depuis des siècles, comme on ne compte plus les ouvrages qui lui sont destinés. Malgré cela la Mort demeure toujours cette inconnue, et pourtant Il faut apprendre à l’apprivoiser ! L’accepter pour mieux la vivre, car lorsqu’on a plus peur de la mort on n’a plus peur de la vie. C’est à travers sa propre expérience d’accompagnante en fin de vie dans un premier temps puis de son propre témoignage aux frontières de la Mort que Bénédicte nous propose avec beaucoup de neutralité ; une approche synthétisée des connaissances philosophiques, médicales, religieuses et spiritualistes autour du sujet. On y découvre malheureusement sans surprise que la France demeure toujours aussi en retard concernant la question de prise en charge de la « fin de vie ». Ce que nous devons essayer de comprendre et de tout mettre en place autant dans notre vie que dans notre société c’est de changer notre approche, nos comportements face à la mort. Ne pas l’ignorer car elle fait partie de la vie. Lui redonner la place qu’elle occupait il n’y a pas si longtemps que cela, lorsque l’on mourait dans son lit. Ce qui permettait peut être de mieux vivre la perte d’un être cher.