Le participe retrouvé. Grand corpus étiqueté sur le participe passé

Par : Fabrice Marsac, Jean-Christophe Pellat

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  • Nombre de pages340
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.527 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-343-15182-3
  • EAN9782343151823
  • Date de parution28/06/2018
  • CollectionDixit Grammatica
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierLuc Fraisse

Résumé

Cet ouvrage s'inscrit dans le courant actuel en Sciences du langage des grands corpus étiquetés. Ce type de recueils de données est (très) peu représenté s'agissant de l'accord du participe passé. Nous livrons aujourd'hui à la communauté scientifique francophone un corpus de 4353 items dûment classés selon une grille d'analyse linguistique adaptée à la catégorie protéiforme du participe. Ce classement, qui est expliqué dans le Chapitre 1, fonde, pour chaque item, un étiquetage de type alphanumérique, où les lettres représentent les différents emplois du participe (comme verbe, adjectif, préposition, adverbe ou nom) et les chiffres, ses divers accords (avec le sujet, le complément d'objet direct ou le nom - voire le pronom - dans ses emplois sans auxiliaire), ainsi que les cas de non-accord.
Le corpus étiqueté est constitué de l'avant-dernier tome de A la recherche du temps perdu (1913-1927), à savoir Albertine disparue (ou La Fugitive, roman initialement paru en 1925, à titre posthume, chez Gallimard). Au-delà des intérêts linguistiques et didactiques de l'étude du participe passé dans un texte littéraire, nous traçons quelques pistes pour dégager l'originalité stylistique de l'emploi du participe passé dans un livre de Marcel Proust, ouvrant ainsi la possibilité d'une comparaison avec d'autres auteurs.
Cet ouvrage s'inscrit dans le courant actuel en Sciences du langage des grands corpus étiquetés. Ce type de recueils de données est (très) peu représenté s'agissant de l'accord du participe passé. Nous livrons aujourd'hui à la communauté scientifique francophone un corpus de 4353 items dûment classés selon une grille d'analyse linguistique adaptée à la catégorie protéiforme du participe. Ce classement, qui est expliqué dans le Chapitre 1, fonde, pour chaque item, un étiquetage de type alphanumérique, où les lettres représentent les différents emplois du participe (comme verbe, adjectif, préposition, adverbe ou nom) et les chiffres, ses divers accords (avec le sujet, le complément d'objet direct ou le nom - voire le pronom - dans ses emplois sans auxiliaire), ainsi que les cas de non-accord.
Le corpus étiqueté est constitué de l'avant-dernier tome de A la recherche du temps perdu (1913-1927), à savoir Albertine disparue (ou La Fugitive, roman initialement paru en 1925, à titre posthume, chez Gallimard). Au-delà des intérêts linguistiques et didactiques de l'étude du participe passé dans un texte littéraire, nous traçons quelques pistes pour dégager l'originalité stylistique de l'emploi du participe passé dans un livre de Marcel Proust, ouvrant ainsi la possibilité d'une comparaison avec d'autres auteurs.