Le partenariat Eglise-Etat dans l'archidiocèse de Bukavu au Sud-Kivu (1990-2012)
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages444
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.663 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,4 cm
- ISBN978-2-343-12232-8
- EAN9782343122328
- Date de parution01/05/2017
- CollectionNotes de cours
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierFerdinand Muhigirwa Rusembuka
Résumé
La privatisation des services publics relève d'une nouvelle gestion publique. En République Démocratique du Congo, elle concerne particulièrement les services de l'éducation et de la santé. Elle s'y présente comme une forme de partenariat entre autonomie et contrainte entre l'Eglise et l'Etat. Cependant, la concrétisation de ce partenariat plonge les deux parties dans un univers hétérogène et incertain.
Cela se traduit par une cohabitation instable qui se justifie par le caractère inéluctable des antagonismes d'intérêts et de rationalités. Cette instabilité due aux diverses contraintes explique la contingence de ce partenariat. L'analyse comparée des services de l'éducation et de la santé qui en sont l'illustration, révèlent que malgré leurs divergences, des convergences peuvent s'observer. L'émergence d'un modèle commun d'Etat "régulateur" et de l'opportunisme pour les partenaires reste à confirmer.
Ces acteurs intervenant dans un espace conflictuel sont en outre exposés à un dilemme de choix entre intérêts particuliers et contraintes. Les décisions qui en résultent ne sont qu'imparfaites parce qu'émanant des hommes, elles souffrent ainsi d'un certain déséquilibre dû à l'asymétrie des ressources de pouvoir entre ces deux partenaires. Ajuster ainsi cette organisation contingente aux contraintes apparaît, non comme une nécessité, mais comme un problème, une lourde épreuve au regard des incertitudes inhérentes à ce partenariat.
Cela se traduit par une cohabitation instable qui se justifie par le caractère inéluctable des antagonismes d'intérêts et de rationalités. Cette instabilité due aux diverses contraintes explique la contingence de ce partenariat. L'analyse comparée des services de l'éducation et de la santé qui en sont l'illustration, révèlent que malgré leurs divergences, des convergences peuvent s'observer. L'émergence d'un modèle commun d'Etat "régulateur" et de l'opportunisme pour les partenaires reste à confirmer.
Ces acteurs intervenant dans un espace conflictuel sont en outre exposés à un dilemme de choix entre intérêts particuliers et contraintes. Les décisions qui en résultent ne sont qu'imparfaites parce qu'émanant des hommes, elles souffrent ainsi d'un certain déséquilibre dû à l'asymétrie des ressources de pouvoir entre ces deux partenaires. Ajuster ainsi cette organisation contingente aux contraintes apparaît, non comme une nécessité, mais comme un problème, une lourde épreuve au regard des incertitudes inhérentes à ce partenariat.
La privatisation des services publics relève d'une nouvelle gestion publique. En République Démocratique du Congo, elle concerne particulièrement les services de l'éducation et de la santé. Elle s'y présente comme une forme de partenariat entre autonomie et contrainte entre l'Eglise et l'Etat. Cependant, la concrétisation de ce partenariat plonge les deux parties dans un univers hétérogène et incertain.
Cela se traduit par une cohabitation instable qui se justifie par le caractère inéluctable des antagonismes d'intérêts et de rationalités. Cette instabilité due aux diverses contraintes explique la contingence de ce partenariat. L'analyse comparée des services de l'éducation et de la santé qui en sont l'illustration, révèlent que malgré leurs divergences, des convergences peuvent s'observer. L'émergence d'un modèle commun d'Etat "régulateur" et de l'opportunisme pour les partenaires reste à confirmer.
Ces acteurs intervenant dans un espace conflictuel sont en outre exposés à un dilemme de choix entre intérêts particuliers et contraintes. Les décisions qui en résultent ne sont qu'imparfaites parce qu'émanant des hommes, elles souffrent ainsi d'un certain déséquilibre dû à l'asymétrie des ressources de pouvoir entre ces deux partenaires. Ajuster ainsi cette organisation contingente aux contraintes apparaît, non comme une nécessité, mais comme un problème, une lourde épreuve au regard des incertitudes inhérentes à ce partenariat.
Cela se traduit par une cohabitation instable qui se justifie par le caractère inéluctable des antagonismes d'intérêts et de rationalités. Cette instabilité due aux diverses contraintes explique la contingence de ce partenariat. L'analyse comparée des services de l'éducation et de la santé qui en sont l'illustration, révèlent que malgré leurs divergences, des convergences peuvent s'observer. L'émergence d'un modèle commun d'Etat "régulateur" et de l'opportunisme pour les partenaires reste à confirmer.
Ces acteurs intervenant dans un espace conflictuel sont en outre exposés à un dilemme de choix entre intérêts particuliers et contraintes. Les décisions qui en résultent ne sont qu'imparfaites parce qu'émanant des hommes, elles souffrent ainsi d'un certain déséquilibre dû à l'asymétrie des ressources de pouvoir entre ces deux partenaires. Ajuster ainsi cette organisation contingente aux contraintes apparaît, non comme une nécessité, mais comme un problème, une lourde épreuve au regard des incertitudes inhérentes à ce partenariat.