Le parler de la musique. Volume 1, La musique, le langage, la culture et l'Histoire
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- Nombre de pages205
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.31 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-913764-64-4
- EAN9782913764644
- Date de parution01/12/2017
- CollectionLes aéronautes de l'esprit
- ÉditeurL'Improviste
Résumé
On a souvent opposé deux conceptions de la musique : la musique "absolue" et autonome, qui n'a besoin de rien d'autre que ses propres moyens pour exprimer ce qu'elle a dire, et la "musique à programme", qui tend à rendre la signification de la musique dépendante d'éléments extra-musicaux. Pour Hanslick, défenseur par excellence de la musique absolue, elle n'est pas un langage, et surtout pas un langage expressif.
Wittgenstein a une approche similaire lorsqu'il affirme : "la musique nous transmet elle-même". Et les relations privilégiées que lui-même et sa famille ont entretenues avec la musique de Brahms et avec le compositeur incitent à le considérer comme un adepte de la conception hanslickienne. Le cas de Nietzsche est plus compliqué : après la rupture avec Wagner, il aurait pu se rapprocher de Brahms. Mais il a exclu cette possibilité et n'a pas non plus totalement cessé de considérer la musique comme un langage qui dispose de possibilités d'expression supérieures à celles de la langue verbale.
Wittgenstein a une approche similaire lorsqu'il affirme : "la musique nous transmet elle-même". Et les relations privilégiées que lui-même et sa famille ont entretenues avec la musique de Brahms et avec le compositeur incitent à le considérer comme un adepte de la conception hanslickienne. Le cas de Nietzsche est plus compliqué : après la rupture avec Wagner, il aurait pu se rapprocher de Brahms. Mais il a exclu cette possibilité et n'a pas non plus totalement cessé de considérer la musique comme un langage qui dispose de possibilités d'expression supérieures à celles de la langue verbale.
On a souvent opposé deux conceptions de la musique : la musique "absolue" et autonome, qui n'a besoin de rien d'autre que ses propres moyens pour exprimer ce qu'elle a dire, et la "musique à programme", qui tend à rendre la signification de la musique dépendante d'éléments extra-musicaux. Pour Hanslick, défenseur par excellence de la musique absolue, elle n'est pas un langage, et surtout pas un langage expressif.
Wittgenstein a une approche similaire lorsqu'il affirme : "la musique nous transmet elle-même". Et les relations privilégiées que lui-même et sa famille ont entretenues avec la musique de Brahms et avec le compositeur incitent à le considérer comme un adepte de la conception hanslickienne. Le cas de Nietzsche est plus compliqué : après la rupture avec Wagner, il aurait pu se rapprocher de Brahms. Mais il a exclu cette possibilité et n'a pas non plus totalement cessé de considérer la musique comme un langage qui dispose de possibilités d'expression supérieures à celles de la langue verbale.
Wittgenstein a une approche similaire lorsqu'il affirme : "la musique nous transmet elle-même". Et les relations privilégiées que lui-même et sa famille ont entretenues avec la musique de Brahms et avec le compositeur incitent à le considérer comme un adepte de la conception hanslickienne. Le cas de Nietzsche est plus compliqué : après la rupture avec Wagner, il aurait pu se rapprocher de Brahms. Mais il a exclu cette possibilité et n'a pas non plus totalement cessé de considérer la musique comme un langage qui dispose de possibilités d'expression supérieures à celles de la langue verbale.