Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pendant cinq jours, Piscator et son disciple, Venator, cheminent le long de la Lea. Ils traitent de la pêche à la ligne et des poissons. Et de la vie....
Lire la suite
Livré chez vous entre le 4 octobre et le 15 octobre
En librairie
Résumé
Pendant cinq jours, Piscator et son disciple, Venator, cheminent le long de la Lea. Ils traitent de la pêche à la ligne et des poissons. Et de la vie. Ainsi nous dit Walton, aucune vie n'est aussi heureuse et joyeuse que celle du pêcheur à la ligne qui sait se gouverner ; car, au moment où l'avocat est écrasé par les affaires et l'homme d'Etat traîne ou dénoue des intrigues, c'est alors que nous, les pêcheurs à la ligne, nous asseyons sur les mass printaniers, nous entendons chanter les oiseaux et nous nous appartenons en une quiétude aussi profonde que celle de ces courants argentés, silencieux que nous voyons glisser calmement à nos côtés. En vérité, mon cher disciple, nous pouvons dire de la pêche à la ligne ce que le docteur Boteler disait des fraises que Dieu eût pu faire des fruits plus savoureux, mais que sans doute Dieu ne les avait jamais faits ; et ainsi, si je peux en être juge, jamais Dieu ne fit un loisir plus tranquille, plus paisible, ni plus innocent que la pêche à la ligne. En un loisir aussi tranquille, aussi paisible et aussi innocent, contemplant le bouchon au milieu de l'eau, ou l'eau autour du bouchon, le pêcheur devient contemplatif et doux.