Kivirahk est sans conteste l'un des plus grands faiseurs d'histoires, un fabuleux jongleur de contes, un étonnant accessoiriste du mot mêlé. L’homme qui trace dans les mystères, les atours du réel. Ou alors, l’inverse...
En saltimbanque virtuose, il nous fait le tourbillon de l'histoire, de la grande et des petites ; voir le monde a travers ses yeux c'est jouir d'un enchantement. Comme ce papillon métaphorique, on se cogne contre la lumière, on vole sur les contours des ombres. Ce papillon, c’est tout à la fois cette jeune femme, Erika, qui arrive dans la troupe de théâtre
qui joue tous les jours à l’Estonia, que l’idée même du théâtre.
Estonie. Entre deux guerres. Dans le grand théâtre de l’Estonia se joue une comédie humaine, entre intimité et universalité. L’Estonia, c’est le lieu de toutes les magies, de tous les possibles, les mensonges y sont le reflet de la réalité, et la réalité est bien ce qu’elle est : une interprétation !
Voilà, quand Andrus Kivirähk vous raconte une histoire, il y mélange tout un tas de choses, des chimères, des mythes, et des balivernes. Il verse dans son écriture, des paquets de rires, des vagues de larmes, des désespoirs et des blessures, mais aussi plein de tendresse et de joie. Cette joie de participer à cette grande aventure qu’est le théâtre, cette manière d’allumer le monde, de réinventer des corps, de permettre aux soldats, aux pauvres et à tous les autres de sortir de sa simple condition de mortel.
Empreint de force et de courage, le théâtre est une Citadelle de la République, le refuge des oiseaux et des idéaux. Le Papillon est son talisman.
Un roman aussi immense que poétique, une déclaration d’amour à la création et à la représentation.
Un roman étourdissant.
La geste d’un Prince en direction du commun des mortels.
Le papillon
Kivirahk est sans conteste l'un des plus grands faiseurs d'histoires, un fabuleux jongleur de contes, un étonnant accessoiriste du mot mêlé. L’homme qui trace dans les mystères, les atours du réel. Ou alors, l’inverse...
En saltimbanque virtuose, il nous fait le tourbillon de l'histoire, de la grande et des petites ; voir le monde a travers ses yeux c'est jouir d'un enchantement. Comme ce papillon métaphorique, on se cogne contre la lumière, on vole sur les contours des ombres. Ce papillon, c’est tout à la fois cette jeune femme, Erika, qui arrive dans la troupe de théâtre qui joue tous les jours à l’Estonia, que l’idée même du théâtre.
Estonie. Entre deux guerres. Dans le grand théâtre de l’Estonia se joue une comédie humaine, entre intimité et universalité. L’Estonia, c’est le lieu de toutes les magies, de tous les possibles, les mensonges y sont le reflet de la réalité, et la réalité est bien ce qu’elle est : une interprétation !
Voilà, quand Andrus Kivirähk vous raconte une histoire, il y mélange tout un tas de choses, des chimères, des mythes, et des balivernes. Il verse dans son écriture, des paquets de rires, des vagues de larmes, des désespoirs et des blessures, mais aussi plein de tendresse et de joie. Cette joie de participer à cette grande aventure qu’est le théâtre, cette manière d’allumer le monde, de réinventer des corps, de permettre aux soldats, aux pauvres et à tous les autres de sortir de sa simple condition de mortel.
Empreint de force et de courage, le théâtre est une Citadelle de la République, le refuge des oiseaux et des idéaux. Le Papillon est son talisman.
Un roman aussi immense que poétique, une déclaration d’amour à la création et à la représentation.
Un roman étourdissant.
La geste d’un Prince en direction du commun des mortels.