Dans ce très beau "Palais des deux collines", karim kattan dit un peu de la Palestine.
C'est l'histoire d'un retour, celui de Faysal dans le ciel ombragé du petit village de jabalayn.
Dans ce récit aussi beau que douloureux, les imaginaires et les voix s'entrelacent, se confondent dans les méandres de l'histoire, entre rêves et réalité.
Les territoires de l'enfance y jaillissent comme les fantômes et les peurs se claquent aux murs.
Avec beaucoup de tendresse, une langue acérée, jalonnée d'images, d'odeurs et de musicalité, on y interroge la mémoire, la transmission, les lisières d'un pays et les éclats multiples d'une culture si singulière.
C'est un palais qui résonne de souvenirs, de magie, de douleurs et de fantasmes.
Un écho puissant, magnifique et engagé.
Un premier roman comme un conte, un petit bout de Palestine que l'on se reconstruit et qu'on attrape à la volée.
Dans ce très beau "Palais des deux collines", karim kattan dit un peu de la Palestine.
C'est l'histoire d'un retour, celui de Faysal dans le ciel ombragé du petit village de jabalayn.
Dans ce récit aussi beau que douloureux, les imaginaires et les voix s'entrelacent, se confondent dans les méandres de l'histoire, entre rêves et réalité.
Les territoires de l'enfance y jaillissent comme les fantômes et les peurs se claquent aux murs.
Avec beaucoup de tendresse, une langue acérée, jalonnée d'images, d'odeurs et de musicalité, on y interroge la mémoire, la transmission, les lisières d'un pays et les éclats multiples d'une culture si singulière.
C'est un palais qui résonne de souvenirs, de magie, de douleurs et de fantasmes.
Un écho puissant, magnifique et engagé.
Un premier roman comme un conte, un petit bout de Palestine que l'on se reconstruit et qu'on attrape à la volée.