Enfin vous pouvez comprendre ce pays très complexe par le biais de ce roman : Le Nomade de Constantinople. C'est une première pour un roman, du genre semi autobiographique, qui est consacré à déconstruire l'histoire officielle de la Turquie basée sur des mensonges d'Etat, sur des fascismes multiples et sur l'ultra-nationalisme qui flirte avec le racisme. Tout est faux dans ce pays. Même le Turc n'existe pas, inventé de toute pièce par Atatürk qui a fondé ce pays en 1923 sur le modèle d'une république laïque à la française.
En plus, une très mauvaise copie car l'Etat et la religion n'en font qu'une. Ils sont inséparables. Alors tout les moyens sont bons : allant des origines raciales délirantes mystifiant une race turque autochtone pure pour former une nation artificielle, à la négation d'une série de génocides, en particulier celui des Arméniens. Dans cette nouvelle découverte de la Turquie c'est Cem Aren, un jeune journaliste turc francophone et francophile, formé à l'école française qui défait les tabous et le statuquo.
Démasquer ces mensonges d'Etat lui a pris plusieurs décennies, tout en voulant faire triompher la vérité, la justice, les Libertés et la Démocratie. Dans ses tribulations romanesques entre deux villes cardinales, Constantinople et Paris, il nous replonge dans les bouillonnantes années 1970 et 1980 et nous livre toute une série de scoop : la préparation du coup d'Etat de 1980, la destruction et l'élimination de toutes les mentions du génocide des Arméniens dans les archives ottomanes, les "passeports Mitterrand" et l'affaire iranienne dans laquelle il a frôlé la mort.
Enfin vous pouvez comprendre ce pays très complexe par le biais de ce roman : Le Nomade de Constantinople. C'est une première pour un roman, du genre semi autobiographique, qui est consacré à déconstruire l'histoire officielle de la Turquie basée sur des mensonges d'Etat, sur des fascismes multiples et sur l'ultra-nationalisme qui flirte avec le racisme. Tout est faux dans ce pays. Même le Turc n'existe pas, inventé de toute pièce par Atatürk qui a fondé ce pays en 1923 sur le modèle d'une république laïque à la française.
En plus, une très mauvaise copie car l'Etat et la religion n'en font qu'une. Ils sont inséparables. Alors tout les moyens sont bons : allant des origines raciales délirantes mystifiant une race turque autochtone pure pour former une nation artificielle, à la négation d'une série de génocides, en particulier celui des Arméniens. Dans cette nouvelle découverte de la Turquie c'est Cem Aren, un jeune journaliste turc francophone et francophile, formé à l'école française qui défait les tabous et le statuquo.
Démasquer ces mensonges d'Etat lui a pris plusieurs décennies, tout en voulant faire triompher la vérité, la justice, les Libertés et la Démocratie. Dans ses tribulations romanesques entre deux villes cardinales, Constantinople et Paris, il nous replonge dans les bouillonnantes années 1970 et 1980 et nous livre toute une série de scoop : la préparation du coup d'Etat de 1980, la destruction et l'élimination de toutes les mentions du génocide des Arméniens dans les archives ottomanes, les "passeports Mitterrand" et l'affaire iranienne dans laquelle il a frôlé la mort.