Le néolibéralisme est un totalitarisme. L'impasse politique de la mondialisation

Par : Maxime Teppaz

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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.293 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-343-22087-1
  • EAN9782343220871
  • Date de parution05/02/2021
  • CollectionQuestions contemporaines
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

La violence envers les Gilets jaunes a révélé le vrai visage du gouvernement français : théorisé dans les années 1930 par W. Lippmann puis popularisé dans les années 1970 par le duo Thatcher-Reagan, le néolibéralisme connaît aujourd'hui une domination sans partage. Se présentant comme une philosophie de la justice sociale et de la liberté, loin des idéologies totalitaires du XXe siècle, l'idéologie néolibérale favorise la logique de marché et la concurrence entre les individus.
Cet ouvrage montre comment le néolibéralisme a en réalité transformé puis détruit tous les aspects de notre humanité, en premier notre spontanéité : la liberté illimitée se traduit finalement par l'immobilité des individus. Au-delà des crises économiques et sociales, le réel danger du néolibéralisme repose davantage dans sa nature antipolitique : quand liberté rime avec compétition, le vivre-ensemble s'écroule et la société tout entière vacille.
La victoire du néolibéralisme, c'est l'histoire de notre abandon, de notre échec.
La violence envers les Gilets jaunes a révélé le vrai visage du gouvernement français : théorisé dans les années 1930 par W. Lippmann puis popularisé dans les années 1970 par le duo Thatcher-Reagan, le néolibéralisme connaît aujourd'hui une domination sans partage. Se présentant comme une philosophie de la justice sociale et de la liberté, loin des idéologies totalitaires du XXe siècle, l'idéologie néolibérale favorise la logique de marché et la concurrence entre les individus.
Cet ouvrage montre comment le néolibéralisme a en réalité transformé puis détruit tous les aspects de notre humanité, en premier notre spontanéité : la liberté illimitée se traduit finalement par l'immobilité des individus. Au-delà des crises économiques et sociales, le réel danger du néolibéralisme repose davantage dans sa nature antipolitique : quand liberté rime avec compétition, le vivre-ensemble s'écroule et la société tout entière vacille.
La victoire du néolibéralisme, c'est l'histoire de notre abandon, de notre échec.