La victoire-éclair de Hitler sur les Alliés n'avait pas été planifiée comme " guerre-éclair ". Le commandement allemand comptait sur une réédition de la Première Guerre mondiale, avec des combats étalés sur des années ; cette conviction avait présidé à la planification de son économie et à ses plans de guerre. Ce n'est qu'après que le corps blindé Guderian eut effectué sa surprenante percée à Sedan que l'offensive allemande acquit une dynamique propre insoupçonnée et conduisit au " coup de faucille " et à l'avance rapide des chars jusqu'aux portes de Dunkerque, où Hitler arrêta leur progression pendant quelques jours, ce qui permit l'évacuation du corps expéditionnaire anglais. S'élevant contre la théorie courante d'une " stratégie de la guerre-éclair " conçue par Hitler, l'auteur démontre ce qui a réellement fondé le secret de la réussite de la " guerre-éclair " de l'offensive de 1940, et démontre également que lorsqu'Hitler voulut réitérer une opération (dont il s'était attribué le mérite a posteriori), mais cette fois contre l'URSS, ce fut l'échec.
La victoire-éclair de Hitler sur les Alliés n'avait pas été planifiée comme " guerre-éclair ". Le commandement allemand comptait sur une réédition de la Première Guerre mondiale, avec des combats étalés sur des années ; cette conviction avait présidé à la planification de son économie et à ses plans de guerre. Ce n'est qu'après que le corps blindé Guderian eut effectué sa surprenante percée à Sedan que l'offensive allemande acquit une dynamique propre insoupçonnée et conduisit au " coup de faucille " et à l'avance rapide des chars jusqu'aux portes de Dunkerque, où Hitler arrêta leur progression pendant quelques jours, ce qui permit l'évacuation du corps expéditionnaire anglais. S'élevant contre la théorie courante d'une " stratégie de la guerre-éclair " conçue par Hitler, l'auteur démontre ce qui a réellement fondé le secret de la réussite de la " guerre-éclair " de l'offensive de 1940, et démontre également que lorsqu'Hitler voulut réitérer une opération (dont il s'était attribué le mérite a posteriori), mais cette fois contre l'URSS, ce fut l'échec.