Agrégé d'histoire et docteur ès lettres, Jean Tulard est professeur à l'université de Paris-Sorbonne et membre de l'Institut. Il est le maître incontesté des études napoléoniennes françaises.
Le Musée du crime. Chronique du 36, quai des Orfèvres
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- Nombre de pages188
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.33 kg
- Dimensions15,7 cm × 23,8 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-37701-038-7
- EAN9782377010387
- Date de parution12/03/2019
- ÉditeurHémisphères Editions
Résumé
"Le 29 mai au matin, près du Pecq, des mariniers l'aperçurent, arrêté au bord d'un ilot dans les herbes. Il était nu, curieusement ligoté à l'aide d'un long tuyau de plomb et bâillonné avec un linge fixé aux lèvres par deux épingles. Il portait plusieurs plaies à la tête et trois horribles blessures dans la région du coeur. Un crime étrange, mystérieux. Comment, sans le moindre indice, identifier la victime qu'un long séjour dans l'eau avait défigurée ? "...
Précédées d'une histoire de la Préfecture de police de Paris, vingt-deux chroniques de la main d'Hélène Tulard, alors à la tête du mythique musée de la Préfecture de police installé depuis la Commune - et jusqu'au départ à la retraite de sa directrice -, au fameux 36, quai des Orfèvres. Elles sont réunies et présentées par son fils, le célèbre-historien Jean Tulard. Ces chroniques étaient parues dans Vigilat, la revue trimestrielle (1952-1965) de la Fondation Louis Lépine de la Préfecture de police, à laquelle collaborèrent Georges Simenon, Pierre Benoit, Marcel Pagnol, Jean Dutourd...
Elles sont ici réunies pour la première fois.
Précédées d'une histoire de la Préfecture de police de Paris, vingt-deux chroniques de la main d'Hélène Tulard, alors à la tête du mythique musée de la Préfecture de police installé depuis la Commune - et jusqu'au départ à la retraite de sa directrice -, au fameux 36, quai des Orfèvres. Elles sont réunies et présentées par son fils, le célèbre-historien Jean Tulard. Ces chroniques étaient parues dans Vigilat, la revue trimestrielle (1952-1965) de la Fondation Louis Lépine de la Préfecture de police, à laquelle collaborèrent Georges Simenon, Pierre Benoit, Marcel Pagnol, Jean Dutourd...
Elles sont ici réunies pour la première fois.
"Le 29 mai au matin, près du Pecq, des mariniers l'aperçurent, arrêté au bord d'un ilot dans les herbes. Il était nu, curieusement ligoté à l'aide d'un long tuyau de plomb et bâillonné avec un linge fixé aux lèvres par deux épingles. Il portait plusieurs plaies à la tête et trois horribles blessures dans la région du coeur. Un crime étrange, mystérieux. Comment, sans le moindre indice, identifier la victime qu'un long séjour dans l'eau avait défigurée ? "...
Précédées d'une histoire de la Préfecture de police de Paris, vingt-deux chroniques de la main d'Hélène Tulard, alors à la tête du mythique musée de la Préfecture de police installé depuis la Commune - et jusqu'au départ à la retraite de sa directrice -, au fameux 36, quai des Orfèvres. Elles sont réunies et présentées par son fils, le célèbre-historien Jean Tulard. Ces chroniques étaient parues dans Vigilat, la revue trimestrielle (1952-1965) de la Fondation Louis Lépine de la Préfecture de police, à laquelle collaborèrent Georges Simenon, Pierre Benoit, Marcel Pagnol, Jean Dutourd...
Elles sont ici réunies pour la première fois.
Précédées d'une histoire de la Préfecture de police de Paris, vingt-deux chroniques de la main d'Hélène Tulard, alors à la tête du mythique musée de la Préfecture de police installé depuis la Commune - et jusqu'au départ à la retraite de sa directrice -, au fameux 36, quai des Orfèvres. Elles sont réunies et présentées par son fils, le célèbre-historien Jean Tulard. Ces chroniques étaient parues dans Vigilat, la revue trimestrielle (1952-1965) de la Fondation Louis Lépine de la Préfecture de police, à laquelle collaborèrent Georges Simenon, Pierre Benoit, Marcel Pagnol, Jean Dutourd...
Elles sont ici réunies pour la première fois.