Les rêves, arme révolutionnaire. Accouplés aux livres : une puissance insondable.
Dans les rues de Buenos Aires, l’Argentine est en proie avec la dictature militaire, les rêves s’achètent un rôle dépassant le cadre du rêveur.
Une ‘organisation’ les collecte, les stocke dans un musée souterrain dans l’attente d’être répandus par milliers dans les rues, dans les tribunaux, dans l'âme de la population.
Les rêves vivent, respirent, se télescopent, se transfèrent d’un corps à l’autre.
Ils sont dangereux. Ils sont subversifs.
Isolés, ils n’ont qu’un pouvoir limité, partagés déployés distribués, ils deviennent acte de résistance face à une société gangrenée, violente et corrompue.
Ils sont ces cartes postales de Seul dans Berlin, ils sont ces missives postées par la résistance de Vaclav Havel. Ils sont les textes de Franz Kafka.
Bienvenue dans le monde inventé par Miguel A Seman, un monde envoutant, intriguant, un monde où le fantasme et l’onirisme se mêlent à une réalité crue et brutale. Le passage des hommes s’intrique dans les pas cadencés d’une société forte de son pouvoir arbitraire, faible de ses idées préconçues.
Bienvenue dans le monde de ces hommes et de ces femmes prêts à dépasser l’entendement rationnel pour la justice et le droit d’exister pleinement.
Le musée des rêves est de ces livres qui poussent à réfléchir à soi, aux autres, à la croyance universelle en un monde plus libre et plus sain.
Un de ces livres magistraux qui outrepassent le cadre de la fiction pour nous amener plus loin, là où rêver n’est ni un crime ni une simple intimité.
Rêvons, aimons, jouissons une existence pleine et entière.
Rêveurs de tous pays, unissez-vous !
Les rêves, arme révolutionnaire. Accouplés aux livres : une puissance insondable.
Dans les rues de Buenos Aires, l’Argentine est en proie avec la dictature militaire, les rêves s’achètent un rôle dépassant le cadre du rêveur.
Une ‘organisation’ les collecte, les stocke dans un musée souterrain dans l’attente d’être répandus par milliers dans les rues, dans les tribunaux, dans l'âme de la population.
Les rêves vivent, respirent, se télescopent, se transfèrent d’un corps à l’autre.
Ils sont dangereux. Ils sont subversifs.
Isolés, ils n’ont qu’un pouvoir limité, partagés déployés distribués, ils deviennent acte de résistance face à une société gangrenée, violente et corrompue.
Ils sont ces cartes postales de Seul dans Berlin, ils sont ces missives postées par la résistance de Vaclav Havel. Ils sont les textes de Franz Kafka.
Bienvenue dans le monde inventé par Miguel A Seman, un monde envoutant, intriguant, un monde où le fantasme et l’onirisme se mêlent à une réalité crue et brutale. Le passage des hommes s’intrique dans les pas cadencés d’une société forte de son pouvoir arbitraire, faible de ses idées préconçues.
Bienvenue dans le monde de ces hommes et de ces femmes prêts à dépasser l’entendement rationnel pour la justice et le droit d’exister pleinement.
Le musée des rêves est de ces livres qui poussent à réfléchir à soi, aux autres, à la croyance universelle en un monde plus libre et plus sain.
Un de ces livres magistraux qui outrepassent le cadre de la fiction pour nous amener plus loin, là où rêver n’est ni un crime ni une simple intimité.
Rêvons, aimons, jouissons une existence pleine et entière.
Rêveurs de tous pays, unissez-vous !