Je comprendrai plus tard que l'amour que je portais à la rudesse de ce paysage était un cri intérieur, une douleur, celui de l'exil, et qu'inconsciemment j'attendais de reconnaître un lieu pour ne plus être un étranger sur terre. Je ne savais pas que cette garrigue deviendrait la terre effacée de mon enfance, mon lieu d'ancrage et qu'elle apaiserait ce quelque chose de perdu en moi. R. A.
Je comprendrai plus tard que l'amour que je portais à la rudesse de ce paysage était un cri intérieur, une douleur, celui de l'exil, et qu'inconsciemment j'attendais de reconnaître un lieu pour ne plus être un étranger sur terre. Je ne savais pas que cette garrigue deviendrait la terre effacée de mon enfance, mon lieu d'ancrage et qu'elle apaiserait ce quelque chose de perdu en moi. R. A.