"Le monde n'est pas une marchandise". (Slogan altermondialiste)

Par : Louis Lourme

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages41
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.038 kg
  • Dimensions10,5 cm × 15,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-84729-085-1
  • EAN9782847290851
  • Date de parution07/10/2009
  • CollectionVariations
  • ÉditeurPleins Feux

Résumé

Notre modernité se caractérise par un rapport particulier à ce qui nous entoure. Désenchanté en comparaison des conceptions qui le précèdent, ce rapport semble reposer sur l'idée que tout pourrait devenir objet d'échange marchand - comme si la marchandise étendait progressivement son empire. Contre cette vision-là, les mouvements altermondialistes n'ont pas tardé à affirmer : " Le monde n'est pas une marchandise ", signifiant ainsi qu'il est forcément réducteur de considérer l'ensemble de notre environnement sous l'angle de la chose que l'on peut posséder. Mais ce slogan fonctionne-t-il vraiment ? Au nom de quoi peut-on s'opposer à cette évolution ? Et, au-delà de l'opposition qu'elle manifeste, cette formule propose-t-elle un message positif ?
Notre modernité se caractérise par un rapport particulier à ce qui nous entoure. Désenchanté en comparaison des conceptions qui le précèdent, ce rapport semble reposer sur l'idée que tout pourrait devenir objet d'échange marchand - comme si la marchandise étendait progressivement son empire. Contre cette vision-là, les mouvements altermondialistes n'ont pas tardé à affirmer : " Le monde n'est pas une marchandise ", signifiant ainsi qu'il est forcément réducteur de considérer l'ensemble de notre environnement sous l'angle de la chose que l'on peut posséder. Mais ce slogan fonctionne-t-il vraiment ? Au nom de quoi peut-on s'opposer à cette évolution ? Et, au-delà de l'opposition qu'elle manifeste, cette formule propose-t-elle un message positif ?