Le monde des sphères. Tome 2, La fin du cosmos classique
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- Nombre de pages432
- PrésentationBroché
- Poids0.3 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN2-251-42006-1
- EAN9782251420066
- Date de parution01/01/1997
- CollectionL'âne d'or
- ÉditeurBelles Lettres
Résumé
Deuxième partie du Monde des sphères, La fin du cosmos classique a pour objet la mort des sphères célestes. Les orbes planétaires, d'une dureté censément cristalline, ont été les premiers à disparaître. L'étude du débat passionné qui mit aux prises les meilleurs astronomes dans le dernier quart du XVIe siècle est l'occasion d'un réexamen du rôle central que l'historiographie a prêté jusqu'ici à Tycho Brahe.
La sphère des fixes, elle, a résisté plus longtemps. Certains auteurs l'ont conservée parce qu'elle leur permettait de penser encore le monde comme une totalité une et ordonnée. Copernic et Kepler sont restés fidèles à la figure idéale du cosmos héritée des Grecs tandis que, Bruno, Gilbert, Galilée et Descartes, n'ont pas hésité à faire éclater la peau protectrice de notre monde, et à affronter en pensée un univers immense, sans forme ni limite, expression nécessaire de la puissance infinie de Dieu.
La sphère des fixes, elle, a résisté plus longtemps. Certains auteurs l'ont conservée parce qu'elle leur permettait de penser encore le monde comme une totalité une et ordonnée. Copernic et Kepler sont restés fidèles à la figure idéale du cosmos héritée des Grecs tandis que, Bruno, Gilbert, Galilée et Descartes, n'ont pas hésité à faire éclater la peau protectrice de notre monde, et à affronter en pensée un univers immense, sans forme ni limite, expression nécessaire de la puissance infinie de Dieu.
Deuxième partie du Monde des sphères, La fin du cosmos classique a pour objet la mort des sphères célestes. Les orbes planétaires, d'une dureté censément cristalline, ont été les premiers à disparaître. L'étude du débat passionné qui mit aux prises les meilleurs astronomes dans le dernier quart du XVIe siècle est l'occasion d'un réexamen du rôle central que l'historiographie a prêté jusqu'ici à Tycho Brahe.
La sphère des fixes, elle, a résisté plus longtemps. Certains auteurs l'ont conservée parce qu'elle leur permettait de penser encore le monde comme une totalité une et ordonnée. Copernic et Kepler sont restés fidèles à la figure idéale du cosmos héritée des Grecs tandis que, Bruno, Gilbert, Galilée et Descartes, n'ont pas hésité à faire éclater la peau protectrice de notre monde, et à affronter en pensée un univers immense, sans forme ni limite, expression nécessaire de la puissance infinie de Dieu.
La sphère des fixes, elle, a résisté plus longtemps. Certains auteurs l'ont conservée parce qu'elle leur permettait de penser encore le monde comme une totalité une et ordonnée. Copernic et Kepler sont restés fidèles à la figure idéale du cosmos héritée des Grecs tandis que, Bruno, Gilbert, Galilée et Descartes, n'ont pas hésité à faire éclater la peau protectrice de notre monde, et à affronter en pensée un univers immense, sans forme ni limite, expression nécessaire de la puissance infinie de Dieu.