Le monde à deux mille mètres. Journal d'un voyageur des cimes
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- Nombre de pages248
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.49 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-8321-1043-0
- EAN9782832110430
- Date de parution07/05/2021
- ÉditeurSlatkine (Editions)
Résumé
Un voyage à pied est d'abord un hymne à la terre qui nous a fait naître. Pour cela, j'ai banni toute idée de performance, de course, de vitesse pour ne garder que la seule persévérance. Comme Rousseau, "j'ai aimé marcher à mon aise, et m'arrêter quand il me plaisait". Pendant cinquante-cinq jours et autant de cols, de Saint-Gingolph à la Furka et retour, je me suis fait le greffier attentif de mes modestes progrès, de mes émotions et de mes pensées, quand j'en avais.
Chaque soir, j'ai dressé le procès-verbal de la journée. Souvent sans autre motif que le plaisir de noter la volupté, et la douleur parfois, de marcher, monter, descendre, remonter, redescendre, à l'infini. En ce sens, cette circumambulation du Valais au ras des cimes, à la limite de la forêt et de la haute montagne, là où la vie et l'oxygène sont abondants et les tracas humains rares, a été un enchantement.
Chaque soir, j'ai dressé le procès-verbal de la journée. Souvent sans autre motif que le plaisir de noter la volupté, et la douleur parfois, de marcher, monter, descendre, remonter, redescendre, à l'infini. En ce sens, cette circumambulation du Valais au ras des cimes, à la limite de la forêt et de la haute montagne, là où la vie et l'oxygène sont abondants et les tracas humains rares, a été un enchantement.
Un voyage à pied est d'abord un hymne à la terre qui nous a fait naître. Pour cela, j'ai banni toute idée de performance, de course, de vitesse pour ne garder que la seule persévérance. Comme Rousseau, "j'ai aimé marcher à mon aise, et m'arrêter quand il me plaisait". Pendant cinquante-cinq jours et autant de cols, de Saint-Gingolph à la Furka et retour, je me suis fait le greffier attentif de mes modestes progrès, de mes émotions et de mes pensées, quand j'en avais.
Chaque soir, j'ai dressé le procès-verbal de la journée. Souvent sans autre motif que le plaisir de noter la volupté, et la douleur parfois, de marcher, monter, descendre, remonter, redescendre, à l'infini. En ce sens, cette circumambulation du Valais au ras des cimes, à la limite de la forêt et de la haute montagne, là où la vie et l'oxygène sont abondants et les tracas humains rares, a été un enchantement.
Chaque soir, j'ai dressé le procès-verbal de la journée. Souvent sans autre motif que le plaisir de noter la volupté, et la douleur parfois, de marcher, monter, descendre, remonter, redescendre, à l'infini. En ce sens, cette circumambulation du Valais au ras des cimes, à la limite de la forêt et de la haute montagne, là où la vie et l'oxygène sont abondants et les tracas humains rares, a été un enchantement.