Le missel de Paqui

Par : Paqui

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  • Nombre de pages153
  • PrésentationBroché
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions11,5 cm × 19,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-85157-570-8
  • EAN9782851575708
  • Date de parution06/04/2009
  • ÉditeurFernand Lanore
  • Personne interviewéeJean Prieur

Résumé

Au cours de l'été 1926, M. et Mme Godefroy, qui étaient en villégiature à Arcachon, se rendirent au cimetière afin de prier sur la tombe de leur jeune hôtelier qui venait de mourir. Ils furent attirés, par une chapelle toute neuve, style 1925, qui dominait parmi les pins toutes les autres sépultures. Ils gravirent les marches et regardèrent à travers la grille en fer forgé. L'autel et les murs étaient en marbre rose, une profusion de fleurs blanches encadrait un portrait de jeune fille.
Paqui, la Jeune fille du portrait était morte un an plus tôt d'une grave sinusite frontale, elle n'avait que vingt ans. Elle laissait une mère et un fiancé brisés par le désespoir. Cependant, au moment où Yvonne Godefroy fit la connaissance de Mme Lamarque, ce désespoir avait fait place à l'apaisement, car un ami habitant la région recevait depuis le mois d'août 1925 des messages dont le premier disait ceci : Je suis montée au Ciel avec ravissement.
Je suis heureuse et ne vous ai pas quittés. Ne pleurez pas... mourir est une sublime résurrection. Tous ces messages, reçus par M. Peyrard, couvrent la période 1925-1927 ; Ils furent publiés dans une plaquette intitulée Le missel de Paqui. Le dernier date du 19 décembre 1927.
Au cours de l'été 1926, M. et Mme Godefroy, qui étaient en villégiature à Arcachon, se rendirent au cimetière afin de prier sur la tombe de leur jeune hôtelier qui venait de mourir. Ils furent attirés, par une chapelle toute neuve, style 1925, qui dominait parmi les pins toutes les autres sépultures. Ils gravirent les marches et regardèrent à travers la grille en fer forgé. L'autel et les murs étaient en marbre rose, une profusion de fleurs blanches encadrait un portrait de jeune fille.
Paqui, la Jeune fille du portrait était morte un an plus tôt d'une grave sinusite frontale, elle n'avait que vingt ans. Elle laissait une mère et un fiancé brisés par le désespoir. Cependant, au moment où Yvonne Godefroy fit la connaissance de Mme Lamarque, ce désespoir avait fait place à l'apaisement, car un ami habitant la région recevait depuis le mois d'août 1925 des messages dont le premier disait ceci : Je suis montée au Ciel avec ravissement.
Je suis heureuse et ne vous ai pas quittés. Ne pleurez pas... mourir est une sublime résurrection. Tous ces messages, reçus par M. Peyrard, couvrent la période 1925-1927 ; Ils furent publiés dans une plaquette intitulée Le missel de Paqui. Le dernier date du 19 décembre 1927.