Né en 1950, Daniel Cohen est romancier, essayiste, traducteur, éditeur.
Le miroir et ses portes. Proust, Gide, Claudel
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages274
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.438 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,1 cm
- ISBN979-10-309-0159-7
- EAN9791030901597
- Date de parution30/05/2018
- CollectionProfils d'un classique
- ÉditeurOrizons
Résumé
La lecture, pour Daniel Cohen, a été et ascèse et affranchisse- ment. C'est auprès des écrivains qu'il a appris à regarder le monde. Dans leur giron, il s'est efforcé de surmonter épreuves et échecs. Une crise majeure et violente (en 2013) réifia les livres. Pas- sant du sacré au contingent, ils cessèrent d'être ce qu'ils avaient été : des enjeux de vie. L'auteur eut à réfléchir sur le rôle de la littérature en temps tragique.
Son livre Le Trésor régulier des rythmes en a fait un axe dans l'ellipse enfance-maturité. Ce cheminement a été illustré par des analyses littéraires. D'abord intégrées dans le tableau de son Trésor, D. Cohen a décidé de détacher la question de l'argent (voir L'Argent, sa corde et l'Ecrivain) et d'autonomiser une réflexion sur le trio prestigieux Proust, Gide, Claudel ; question et réflexion d'abord conçues comme la réparation morale d'une fracture.
Ce livre est un témoignage passionné : comment des écrivains inscrivent leur matricule insigne sur la peau de leur lecteur.
Son livre Le Trésor régulier des rythmes en a fait un axe dans l'ellipse enfance-maturité. Ce cheminement a été illustré par des analyses littéraires. D'abord intégrées dans le tableau de son Trésor, D. Cohen a décidé de détacher la question de l'argent (voir L'Argent, sa corde et l'Ecrivain) et d'autonomiser une réflexion sur le trio prestigieux Proust, Gide, Claudel ; question et réflexion d'abord conçues comme la réparation morale d'une fracture.
Ce livre est un témoignage passionné : comment des écrivains inscrivent leur matricule insigne sur la peau de leur lecteur.
La lecture, pour Daniel Cohen, a été et ascèse et affranchisse- ment. C'est auprès des écrivains qu'il a appris à regarder le monde. Dans leur giron, il s'est efforcé de surmonter épreuves et échecs. Une crise majeure et violente (en 2013) réifia les livres. Pas- sant du sacré au contingent, ils cessèrent d'être ce qu'ils avaient été : des enjeux de vie. L'auteur eut à réfléchir sur le rôle de la littérature en temps tragique.
Son livre Le Trésor régulier des rythmes en a fait un axe dans l'ellipse enfance-maturité. Ce cheminement a été illustré par des analyses littéraires. D'abord intégrées dans le tableau de son Trésor, D. Cohen a décidé de détacher la question de l'argent (voir L'Argent, sa corde et l'Ecrivain) et d'autonomiser une réflexion sur le trio prestigieux Proust, Gide, Claudel ; question et réflexion d'abord conçues comme la réparation morale d'une fracture.
Ce livre est un témoignage passionné : comment des écrivains inscrivent leur matricule insigne sur la peau de leur lecteur.
Son livre Le Trésor régulier des rythmes en a fait un axe dans l'ellipse enfance-maturité. Ce cheminement a été illustré par des analyses littéraires. D'abord intégrées dans le tableau de son Trésor, D. Cohen a décidé de détacher la question de l'argent (voir L'Argent, sa corde et l'Ecrivain) et d'autonomiser une réflexion sur le trio prestigieux Proust, Gide, Claudel ; question et réflexion d'abord conçues comme la réparation morale d'une fracture.
Ce livre est un témoignage passionné : comment des écrivains inscrivent leur matricule insigne sur la peau de leur lecteur.