Le métier de survivre, un livre déroutant, une mise en abime du monde éditorial, ou tout simplement de la vie? Un écrit où l'auteur joue avec les mots, ses personnages comme avec ses lecteurs. Lire ce récit est un peu comme faire un rêve, assister à des scènes irréelles, incohérentes mais qui au final se révèlent intrinsèquement liées, sensées.
Je dois avouer avoir été plutôt perplexe, quelques minutes, à la fin de ma lecture. Non pas que le plaisir n'a pas été présent, bien au contraire. L'écriture de l'auteur est magistrale, la traductrice est époustouflante, car retranscrire la pensée, les mots de Marcelo Damiani en français ne devait pas être des plus simple. Le métier de survivre est déroutant, à aucun moment on ne peut se rattacher à un fait, à une situation. Nous ne sommes plus lecteur mais funambule. Un simple écart de concentration, un égarement intellectuel nous pousserait à la chute. Lire Le métier de survivre demande concentration et une totale implication pour savourer chaque mot de Marcelo Damiani. Les histoires qui semblent être en total paradoxes les unes aux autres s'imbriquent à la perfection, rendant à la fois le titre magique, captivant, insaisissable, dérangeant, névrosé.
Je tiens à remercier Tulisquoi pour ce livre, j'avais craqué sur sa présentation, et encore plus sur sa chronique. Elle a eu la bonté de me le prêter. Car avouons le, sans elle jamais je n'aurai lu ce livre, ni eu l'idée de le lire. Je suis un lecteur plutôt "sentier battu", par peur d'être déçu mais surtout par méconnaissance. Donc encore MERCI Tuly (j'espère que tu aimeras ce diminutif) pour m'avoir permis d'ouvrir mon champ de lecture.
Le métier de survivre, un livre déroutant, une mise en abime du monde éditorial, ou tout simplement de la vie? Un écrit où l'auteur joue avec les mots, ses personnages comme avec ses lecteurs. Lire ce récit est un peu comme faire un rêve, assister à des scènes irréelles, incohérentes mais qui au final se révèlent intrinsèquement liées, sensées.
Je dois avouer avoir été plutôt perplexe, quelques minutes, à la fin de ma lecture. Non pas que le plaisir n'a pas été présent, bien au contraire. L'écriture de l'auteur est magistrale, la traductrice est époustouflante, car retranscrire la pensée, les mots de Marcelo Damiani en français ne devait pas être des plus simple. Le métier de survivre est déroutant, à aucun moment on ne peut se rattacher à un fait, à une situation. Nous ne sommes plus lecteur mais funambule. Un simple écart de concentration, un égarement intellectuel nous pousserait à la chute. Lire Le métier de survivre demande concentration et une totale implication pour savourer chaque mot de Marcelo Damiani. Les histoires qui semblent être en total paradoxes les unes aux autres s'imbriquent à la perfection, rendant à la fois le titre magique, captivant, insaisissable, dérangeant, névrosé.
Je tiens à remercier Tulisquoi pour ce livre, j'avais craqué sur sa présentation, et encore plus sur sa chronique. Elle a eu la bonté de me le prêter. Car avouons le, sans elle jamais je n'aurai lu ce livre, ni eu l'idée de le lire. Je suis un lecteur plutôt "sentier battu", par peur d'être déçu mais surtout par méconnaissance. Donc encore MERCI Tuly (j'espère que tu aimeras ce diminutif) pour m'avoir permis d'ouvrir mon champ de lecture.